Les camionneurs du Convoi de la liberté : « Canada United » s'installe autour du Parlement

 

Les premiers camions d'un convoi organisé pour protester contre les mandats de vaccination du gouvernement fédéral canadiens contre la COVID-19 les conducteurs transfrontaliers sont arrivés au  Parlement vendredi. 






Le mouvement qui a débuté comme une réponse à l’obligation vaccinale imposée aux camionneurs transfrontaliers est devenu quelque chose de beaucoup plus large. Survol des demandes et portrait des organisateurs, participants et sympathisants du mouvement.

Des camionneurs de l’est et de l’ouest du pays, accompagnés de sympathisants dans leurs véhicules, se sont rassemblés dans ce qu'ils ont appelé un Convoi de la liberté et convergent vers Ottawa pour la fin de semaine.

Le convoi, d’abord organisé en réponse à l’obligation vaccinale imposée aux camionneurs transfrontaliers depuis le 15 janvier au Canada, et le 22 janvier aux États-Unis, a maintenant des revendications beaucoup plus larges.

On veut que les gouvernements, à un moment donné, arrêtent leur tyrannie, a déclaré en entrevue François Harding, un entrepreneur en construction non vacciné qui s’est joint au convoi.

Le mouvement s’est fait connaître à l’international. Des personnalités telles que l’animateur Tucker Carlson et l’entrepreneur Elon Musk, qui a déclaré sur Twitter que [l]es camionneurs canadiens sont les meilleurs, lui ont notamment donné leur soutien.Dans un communiqué de presse publié sur les médias sociaux mercredi, les organisateurs Tamara Lich et Benjamin Dichter demandent notamment que les gouvernements fédéral et provinciaux mettent fin aux passeports vaccinaux et aux obligations vaccinales, et qu’ils respectent les droits de ceux qui ne souhaitent pas se faire vacciner.

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