Racket fiscal : il va payer 168 euros de taxe pour 10 pieds de tomate !


Pour avoir construit cette petite serre artisanale de 6 m², un jardinier amateur doit verser 168 euros au fisc, soit 16,80 euros par pied de tomates !
Fransisco Castano est un jardinier amateur de Grand-Charmont (Doubs). Afin de protéger ses  dix pieds de tomates, il a décidé de créer un petit abri démontable, plus esthétique que l’ancien film plastique apposé sur des piquets.

Il va ensuite signaler la construction de la serre à la mairie, plans à l’appui. Quelques mois plus tard, il reçoit un courrier de la Direction Départementale du Territoire (DDT) l’informant qu’il est assujetti à la taxe d’aménagement ! On lui demande de payer 168 euros, dont 126 euros pour la part communale et 42 euros pour la part départementale.

Pour un abri démontable de 2,58 x 2,58m / hauteur 1,50 et 1,70m, le fisc lui est tombé dessus…
Sitôt informé, le maire de la commune a rédigé une protestation à la DDT. Rien n’y fait : pour ses plants de tomates, le jardinier devra payer !

                                   Courrier adressé par la DDT à Fransisco Castano
                                        DR : Page Facebook de Fransisco Castano

Ce matraquage fiscal est d’autant plus inacceptable qu’il finance des dépenses publiques hors de contrôle… En 2017, les Français auront travaillé 205 jours pour financer les dépenses de l’Etat, des collectivités locales de la sécurité sociale et de l’Union Européenne !
Pour l’association Contribuables Associés, seule la réduction drastique des dépenses publiques permettra de diminuer les impôts et l’endettement massif.

Article Est Républicain

Source : http://www.contribuables.org/

Commentaires

  1. Anonyme13.9.17

    La seule erreur de ce monsieur est d'avoir été trop honnête surtout avec l'escroc numéro un qui siège actuellement à l'Elysée. Dans le sud de la France, ça construit des terrasses à tout va et personne ne déclare. Ni vu ni connu. Malheureusement ce sont nos dirigeants eux même qui nous poussent à devenir comme eux, c'est à dire malhonnêtes. Voilà comment on pourrit un pays peu à peu. Autre temps, autres moeurs. Et surtout n'oubliez pas : Pensez printemps !

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  2. Anonyme20.9.17

    les gouvernants étant illégitimes il serait temps de se réveiller

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