L'agenda 21 : un plan pour une dictature fasciste mondiale


L'un des films les plus populaires de 2012 a été The Hunger Games, qui met en scène une nation post-apocalyptique nommée Panem dans laquelle une élite super-riche, super-choyée, totalement insensible vit dans un luxe high-tech alors que le reste de la population se bat quotidiennement pour survivre à une pauvreté abjecte, enfermée derrière les grilles de prison  des "zones à peuple" bondées. Panem vient de l'expression latine panem et circenses, ce qui veut dire "du pain et des jeux (du cirque)" – terme romain, qui signifie donner aux gens des diversions et distractions pour cacher ce qu'on leur fait subir.

Exactement ce qui se passe aujourd'hui.



L'avancée à bas bruit du totalitarisme pour un tel monde se fait autour de nous, bien qu'une majorité de personnes ne la voit pas parce qu'ils ne relient pas les points. Les gens ont tendance à vivre dans leur "petit monde" et se concentrent uniquement sur quelques sujets et centres d'intérêt. Ce qui leur donne une vision déformée de ce qui se passe parce qu'ils sont si occupés à se focaliser sur des détails qu'ils en perdent de vue l'ensemble. Le monde des Hunger Games est déjà bien en voie de réalisation à moins que l'humanité ne fasse une réévaluation de la réalité.

Les fondements, la structure et les "must" de la société des Hunger Games sont détaillés dans un programme imposé par les Nations-Unies appelé Agenda 21 qui inclut deux thèmes proches, le "développement durable" et la "biodiversité". L'idée de développement durable semble assez sensée à première vue tant qu'on n'a pas réalisé ce que ce terme et celui de biodiversité renferment vraiment dans le contexte d'une conspiration.

L'Agenda 21 a été mis en place en 1992 lors de la conférence des Nations-Unies sur l'environnement et le développement à Rio de Janeiro au Brésil, organisée par Maurice Strong, un milliardaire canadien du pétrole et des affaires et porte-parole des Rothschilds et des Rockefellers. Strong fut le chef de file pour le programme d'exploitation-de-l'environnement-pour-arnaquer-les-gens, main cachée de l'environnement dans le réseau de la Table Ronde qui comprend le groupe Bilderberg, la Commission Trilatérale et le Conseil des Relations Extérieures.

Strong disait à l'appui de l'Agenda 21 : "N'est-ce pas le seul espoir pour cette planète que la civilisation industrialisée s'effondre ? N'est-il pas de notre responsabilité de le provoquer ?" C'est un homme qui est devenu super-riche grâce à l'industrie du pétrole. Il vit aujourd'hui en Chine dans un luxe de milliardaire où l'industrie émettrice de carbone s'envole et il est directeur du Chicago Climate Exchange [CCX en abrégé] (dont le principal actionnaire est Goldman Sachs), qui est le premier projet mondial et le seul système de réduction des gaz à effet de serre de valeur légale en Amérique du nord. Le CCX a été mis en place avec un financement de la Fondation Joyce où Barack Obama fut un jour directeur. Strong et Al Gore s'en sont mis plein les poches grâce au Carbon Exchange et autres moyens grâce aux mensonges dont ils font la promotion sur le changement climatique et aux solutions qu'ils proposent. Kate Johnson a écrit sur le site de Global Research : "Les mêmes hommes qui nous ont vendu le mythe du réchauffement climatique causé par l'homme sont les mêmes qui nous ont venu la "solution" d'une taxe carbone et le Emissions Trading Scheme [système d'échange de quotas d'émissions] et aujourd'hui ils profitent de leurs investissements lucratifs basés sur des mensonges". Strong s'est envolé pour la Chine en 2006 après avoir été accusé de corruption en rapport avec le pétrole des Nations-Unies pour le programme alimentaire.

La propagande sur le changement climatique est une technique de non-problème-réaction-solution pour justifier l'Agenda 21 et son compagnon, le Traité sur la Biodiversité. C'est un document internationalement contraignant impliquant presque 200 pays. Les US ont signé le traité, mais il n'a pas été ratifié par le Sénat après que des gens comme le Dr Michael Coffman, écologiste et scientifique de l'écosystème ait exposé ses réelles conséquences et implications. Il dit avoir compris pendant les années 80 et 90 que le plan était de prendre comme excuse une protection de l'environnement pour confisquer la moitié des terres des US. Des plans similaires existent pour tous les autres pays. L'Amérique a pu ne pas ratifier le traité, mais il est mis en œuvre actuellement. L'Agenda 21 demande un contrôle mondial centralisé de toutes les terres ; de toutes les propriétés privées, de toutes les sources et distribution d'eau et de toute la production et la distribution alimentaire.

L'Agenda 21 est nommé "agenda pour le 21ème siècle" et il fait penser à un fascisme/communisme mondial. Voici un résumé de ce que l'Agenda 21/Développement Durable/Biodiversité cherche à imposer :

• La fin de la souveraineté nationale
• La planification et la gestion étatisées des territoires pour toutes les ressources, les écosystèmes, les déserts, forêts, montagnes, océans et l'eau douce; l'agriculture; le développement rural; la biotechnologie; et l'assurance d'une "équité" (esclavage équitable)
• L'État "définit le rôle" des entreprises et des ressources financières
• Abolition de la propriété privée (ce n'est pas "durable")
• "Restructuration" de l'unité familiale
• Des enfants élevés par l'État
• On dit aux gens quel sera leur travail
• Restrictions majeures des déplacements
• Création de "zones de peuplement humain"
• Repeuplement de masse car les gens sont forcés de laisser vacantes les terres où ils vivaient auparavant
• Éducation abrutissante (réalisée)
• Dépopulation mondiale massive à la poursuite des éléments ci-dessus

Cet horrible programme est coordonné par les Nations-Unies, fer de lance d'une dictature mondiale, via un réseau non-gouvernemental appelé autrefois le Conseil International d'Initiatives d'Environnement Locales [en anglais ICLEI, International Council of Local Environmental Initiatives] et aujourd'hui connu comme Gouvernements Locaux pour la Durabilité, bien que le nom abrégé ICLEI soit toujours en usage. Les Nations-Unies ouvrent maintenant des "ambassades" autour du monde nommées "Maisons des Nations-Unies" sous couvert d'accroître la sensibilisation des activités des Nations-Unies, mais non les activités que les gens ont vraiment besoin de connaître. Ils en ont ouvert une à Hunter Square, à Édimbourg, en Écosse, par exemple.

Les Gouvernements Locaux pour la Durabilité (ICLEI) et d'autres organisations introduisent le programme dans chaque village, ville, cité et région et il commence déjà à s'étendre autour du monde. L'infrastructure d'organisation de l'Agenda 21 est déjà fantastique et implique des agences du gouvernement, des organisations non-gouvernementales (ONG), des think-tanks, des sociétés, des fondations, des opérations "de formation" (contrôle de l'esprit) et des "initiatives" qui ont bâti l'infrastructure de ce qu'ils appellent la société "post-industrielle, post-démocratique" alors que la foule continue ses activités quotidiennes, inconsciente de la prison qui se construit autour d'elle d'heure en heure.

Harvey Ruvin, vice-président de l'ICLEI, était interrogé sur la manière dont l'Agenda 21 affecterait les libertés en rapport avec la Constitution américaine et la Déclaration des Droits, la propriété privée et la liberté d'expression. Il a répondu : "Le collectif doit prendre le pas sur les droits individuels". L'arrogance de ces gens est époustouflante. Le réseau extraordinaire qui soutient l'ICLEI et l'Agenda 21 incluent diverses institutions. Celles-ci et de nombreuses autres travaillent au même but – l'Agenda 21 et la mise en esclavage total des humains autour du monde, bien que la plupart de ceux qui sont impliqués n'auront aucunement l'idée qu'ils construisent une prison mondiale pour eux et leurs familles.

Une autre de ces organisations de premier plan est le Conseil des Entreprises Mondiales pour le Développement Durable qui inclut la monstrueuse société Monsanto. La destruction de terres agricoles, la contamination des pays avec des toxines et le remplacement d'aliments corrects par des organismes génétiquement modifiés mortels et destructeurs de sol, telle est la contribution de Monsanto pour la "durabilité". L'Agenda 21 est en fonction dans plus de 600 villes, cités et comtés des US et s'étend de jour en jour.

Un membre des comités de l'Agenda 21 de Santa Cruz en Californie, disait au milieu des années 90 que les propositions qu'il entendait étaient si folles qu'il en riait car elles ne pourraient jamais être appliquées. Elles incluaient que "la surface de la Terre Mère ne soit pas éraflée" ; les humains seraient parqués dans des zones de peuplement ; l'éducation devrait se concentrer sur l'environnement en tant que principe d'organisation et tous les aspects de la vie seraient couverts par l'Agenda 21, mais tous ces programmes délirants sont introduits aujourd'hui. Rien que des visages heureux, gentils, souriants, mais la réalité est que l'Agenda 21 est une stratégie vicieuse, brutale, inhumaine pour imposer un état orwellien mondial.

Les manipulateurs de cet agenda soit créent une organisation locale ou en détourne d'autres, plusieurs d'entre elles dans des lieux largement peuplés et ils placent leurs dirigeants (sous contrôle) pour accorder le projet de l'Agenda 21 à leur communauté conjointement avec des idiots involontaires non informés à qui on vend un cauchemar humain comme moyen de sauvetage de la planète. Ce qui leur permet de prétendre que les décisions ont été prises après une "participation publique" alors que cela aurait été la dernière chose qu'ils voulaient et 99 % de la "communauté" n'a jamais entendu parler de l'Agenda 21 et encore moins pu en parler. Ils ne veulent pas de démocratie, voilà pourquoi ces gens discutent en privé, parfois même en public, d'une société post-démocratique, post-industrielle.

Ils souhaitent contrôler chaque homme, femme et enfant de la planète – tout le monde et partout et toute ressource, source d'eau et morceau de terre. Dans ce but ils ont besoin d'une structure mondiale de contrôle fasciste qui s'implante directement dans toutes les communautés locale sous des autorités à l'échelon local qui renforcent la volonté du centre mondial. C'est pourquoi il y a une telle emphase dans l'Agenda 21 sur les autorités locales et municipales.

Il existe une "organisation de formation" nommée But Commun (finalité commune, consensus commun, tout le monde les mêmes) financée par de grosses sommes d'argent données par les gouvernements et les autorités locales, les forces de police et autres institutions d'état pour "former les dirigeants" de la société post-démocratique, post-industrielle. But Commun a été largement représenté dans 'l'enquête' Leveson conduisant en Grande-Bretagne à de nouvelles lois pour les médias. Ce n'est pas un programme de formation ; c'est un programme de programmation qui donne des administrateurs zombis inconditionnels qui servent le dieu de l'Agenda 21 et l'Union Européenne partenaire. Le thème de "commun" s'applique aussi à la toujours plus grande standardisation de lois et règlements et à une référence constante à la "loi internationale". C'est le déploiement de la dictature mondiale de l'Agenda 21. Que faut-il pour être un dictateur mondial ? Des lois auxquelles chacun sur terre doit obéir – une loi internationale et une standardisation de la réglementation mondiale.


On peut voir le lien avec The Hunger Games quand on regarde en figure 1 la carte officielle souhaitée de la Biodiversité pour les US. Les zones rouges sont prévues avec aucun usage humain et presque tout le reste de l'Amérique est confisqué pour une utilisation dérisoire et hautement réglementée. La masse populaire serait concentrée dans les bâtiments bondés des "zones de peuplement humain" et aurait interdiction d'accéder à quelque chose comme 80 % de l'Amérique d'aujourd'hui. C'est sans aucun doute le monde des Hunger Games avec une hiérarchie mondiale renforcée à tous les échelons possédant un gouvernement mondial qui utilise une armée mondiale et des forces de police pour imposer sa volonté à des niveaux régional et local (secteurs). La fondation financée par Rockefeller, America 2050 a publié une carte des nouveaux états unis divisés en onze "mégarégions" et qui incluent une partie du Canada (figure 2). Seattle, Portland et Vancouver, la Colombie britannique, deviennent une mégarégion connue comme "Cascadia" et ce système régional relève du nom collectif de "mégalopole" qui désigne en grec une grande cité. L'Amérique, le Canada et le Mexique devraient fusionner pour former l'Union nord-américaine qui s'alignerait avec le plan pour l'Union Européenne.



 Il est prévu que l'Union Européenne soit scindée en régions et une structure semblable est en voie de développement tout autour du monde. La carte de la nouvelle Europe comporte des régions formées de différents pays associées aux régions d'autres pays pour mettre fin aux vestiges de la souveraineté nationale ou même de l'existence nationale (figure 3). C'est le plan mondial avec son féroce contrôle caché derrière ses éléments inférieurs comme l'Union Européenne et le gouvernement local. Ce qui est programmé nécessiterait clairement une réduction fantastique de la population mondiale et c'est en fait ce que l'Agenda 21/Développement Durable/Biodiversité demande.


Référence:
Icke, D. (2013). The Perception Deception. Ryde: David Icke Books.

Traduction par Hélios

Commentaires

  1. Anonyme27.5.14

    je dis le jeu est fini, retour a l'envoyeur,et c'est accompli !

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