La date du procès pour trafic d’orphelins du Pape François est fixée !


Un témoin a accepté de sortir de sa cachette en Espagne pour témoigner contre le Pape François. Le fonctionnaire argentin avait pris des notes exhaustives de réunions entre celui qui est maintenant le Pape François et des responsables de la Junte militaire.

Ce témoin n’a pas été le seul dans ces accusations à l’encontre du Pape François. Selon un article de 2005 du Los Angeles Times, celui qui est aujourd’hui le Pape catholique François a été accusé par un groupe de défense des droits de l’homme de trafic de bébés, et en plus d’assistance au rapt d’opposants à la Junte militaire argentine pendant la Sale Guerre. Les avocats qui ont enregistré la plainte de 2005 représentaient le groupe de défense des droits de l’homme Plaza de Mayo.
Il y a un an le Pape catholique François est arrivé au sommet de l’Église Catholique mondiale après que le Pape Benoît ait démissionné de son siège. L’abdication sans précédent d’un Pape catholique est survenue quelques jours après que le Pape Benoît ait reçu la notification de l’émission d’un mandat d’arrêt par la même cour internationale qui veut juger le Pape François en mars.

Le verdict de culpabilité du Pape catholique Benoît de février 2013 est venu après des mois de délibérations par 36 membres d’un jury et six juges internationaux sur 150 affaires concernant plus de 50.000 enfants amérindiens canadiens disparus.

Le jury international a découvert que les enfants amérindiens se faisaient violer, torturer et assassiner dans des internats à travers le Canada – dont la majorité étaient des établissements catholiques. Les 80 écoles appartenaient conjointement au gouvernement canadien, à la reine Elizabeth et à l’Église Catholique, Anglicane et Unie du Canada.

Le Pape catholique, le gouvernement canadien et la reine Elizabeth (chef de l’Église Anglicane, ndlr) n’ont pas été les seuls dans leurs crimes contre des enfants vulnérables. Il a aussi été découvert que les 50.000 enfants amérindiens disparus avaient été les cobayes d’expériences illégales de contrôle de l’esprit par la CIA comprenant essais de drogues. Les essais de drogues étaient prodigués en association avec des entreprises pharmaceutiques comme Eli Lilly, Upjohn et Bayer. Ces firmes finançaient les églises unie, catholique, et anglicane qui géraient les 80 internats scolaires en relation avec le gouvernement canadien, l’Église Catholique et la Couronne Britannique.

Depuis 2008, 32 tombes communes d’enfants ont été découvertes sur des terrains appartenant à des institutions canadiennes et des internats d’enfants amérindiens. Bien que des restes humains aient été mis au jour sur au moins deux sites, il a été refusé que des excavations supplémentaires soient effectuées sur tous les sites de tombes communes d’enfants. Les preuves de l’holocauste des enfants canadiens a été relaté dans le livre de Kevin Annett, "Hidden No Longer" ("Désormais Plus Cachés", ndlr), qui peut être lu gratuitement ici: www.ChildAbuseRecovery.comwww.hiddennolonger.com
Annett a déclaré que cet abus d’enfants et son camouflage était "une tentative délibérée d’éliminer les tribus indigènes canadiennes et prendre possession de leurs terres ce qui à maintes reprises, a été accompli."

La cour internationale a également trouvé en février 2013 que la reine Elizabeth était coupable de la disparition, le 10 octobre 1964, de dix enfants de l’Internat Kamloops en Colombie Britannique. Les parents des enfants disparus ont été empêchés d’amener leur affaire devant un tribunal par le gouvernement canadien – raison pour la cour internationale en 2013.

Trois témoins des enlèvements sont morts de causes mystérieuses avant le procès. L’un d’entre eux était William Combes, âgé de douze ans à l’époque. Il déclara lors de sa déposition filmée, "C’était étrange parce que nous avons dû embrasser les bottes de la reine qui étaient blanches avec des lacets. Sept garçons et trois filles âgés de six à 14 ans sont partis avec la reine et le prince Philippe. Nous n’avons plus entendu parler d’eux après ce jour-là, même quand nous avions grandi."

L’annonce aujourd’hui d’amener le Pape François devant un tribunal a été faite par Kevin Annett de l’International Tribunal into Crimes of Church and State (Tribunal International pour les Crimes de l’Église et de l’État, ndlr). Elle a été faite le jour anniversaire de la condamnation, le 25 février 2013, du Pape Benoît et de 29 autres membres de l’élite mondiale dont la reine Elizabeth, pour leurs crimes contre l’humanité.

Voici ci-dessous l’interview du responsable de l’ITCCS :



Et ici la première partie du documentaire sur le génocide des amérindiens :



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