José Manuel Barroso menace les suisses


José Manuel Barroso insinue que les Suisses pourraient ne plus pouvoir travailler dans l'UE

Le président de la Commission européenne durcit le ton envers la Suisse après le résultat de la votation de dimanche, où les Helvètes se sont exprimés en faveur d’une limitation de l'immigration.



Le résultat de la votation en Suisse de dimanche dernier continue de faire des remous. En premier lieu au cœur de la capitale européenne, Bruxelles...

José Manuel Barroso, le président de la Commission européenne, a mis la pression sur Berne, après que les Suisses ont voté en faveur d’une limitation de l'immigration en réintroduisant des quotas qui toucheraient les actifs de l’Union européenne - au détriment de l'accord de libre-circulation. Dans un entretien à Reuters, il a insinué que les Suisses pourraient perdre la possibilité de travailler et s'établir au sein de l'UE, rapporte le site de la RTS, la radio télévision suisse, dans un article mis en ligne ce mercredi. Diplomatie oblige, José Manuel Barroso s'est toutefois gardé d'une attaque trop frontale.

Peu après le résultat de la votation, Bruxelles avait déjà prévenu la Suisse que si celle-ci mettait fin à l'accord de libre-circulation, tous les autres accords liant Berne à l'UE seraient de fait dénoncés.
Le bras de fer entre Berne et les 28 pays de l’Union s’engage donc doucement autour de l’accord de libre-circulation : un accord âprement négocié avec d’autres, pendant cinq ans, entre la Suisse (qui n’est pas dans l’Union Européenne) et l’UE. A l’issue de cette bataille, Berne avait accepté d’ouvrir progressivement son marché du travail aux 500 millions d’actifs de l’UE dès 2002 en supprimant ses quotas… qui pourraient faire leur retour.

Comme l’explique Lemonde.fr, Berne a trois ans pour réformer la Constitution et permettre à la Suisse de maîtriser son immigration en créant lesdits quotas. De la mise en oeuvre de cette mesure dépendra les futures relations entre l’Union européenne et la Suisse.

Source : atlantico.fr

Commentaires

  1. A mon humble avis Mr Barroso aurait intérêt à se méfier du boomerang, pour tous Européens qui mettent leur pognon là bas.

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  2. Anonyme13.2.14

    les banques suisses ne veulent plus abriter les politiciens voleurs qui pillent les subventions européenne, les politiciens français sont les pros de la fraude fiscale magistrale, ça fait deja depuis la traité de vichy que le FMI leur est un trésor, c'est le trou d'optimisation par les dettes, obligations avec intérêts. les politiciens qui ont fait ce systeme de détour des monnaies par la caisse noire FMI, sont les socialistes, Pompidou Georges était directeur de banque Rothschild avant intégration dans le milieu politique. nos politicien en France sont nos plus grands voleurs, et comme tous les fonctionnaires, ils foutent la merde pour ensuite se rendre indispensables.

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