Allemagne, Suisse, France… le Gender totalitaire se met en place




Cela fait bientôt 10 ans maintenant qu’on est au courant, grâce à internet, des persécutions exercées contre les parents refusant la théorie du Gender en Allemagne en Suède (où les enfants sont carrément retirés aux parents pour être placés en « foyer » et « éduqués » par l’Etat) ou encore en Suisse.

Nul doute que c’est en train d’arriver en France. Que déciderez vous ce jour la pour vos enfants ?

Sur Internet la « résistance » au Gender est apparament plus le fait de la « Cathosphère » que de la « Conspirosphère ». Au vue de certaines discussions sur un forum conspirationiste bien connu, au moment du passage de la loi sur le mariage gay, la simple évocation de l’opposition au Gender était vécu par certains comme une « atteinte à la liberté » (le totalitarisme inversé en quelque sorte). Bah oui s’opposer au Genre c’est forcément un truc de vieux « facho-catho-réac », c’est pas une « conspiration », un truc « qu’on-nous-cache-tout-on nous-dit-rien », « cool mec » « peace&love » « faut pas voir des complots partout » on fait ce qu’on veut avec not’ptit sexe ». Bah oui mon gars… Bizzarement quand il s’agit de se la faire mettre profond, y a plus de contrôle de l’esprit hein ? Trêve de plaisanterie, on se demande jusqu’à quel point à cette époque le débat n’était pas truqué. En effet on pouvait s’apercevoir que bon nombre de personnes se présentant comme pronant la « défense des libertés » que ce soit à la télé ou sur le net étaient tout simplement des homosexuels, bien souvent militant de la cause LGBT et avançant masqués…

On nous disait « mais qu’est ce que ça peut bien vous foutre qu’ils se marient ! laissez les donc vivre leur vie ». Eh oui ! ils nous faisaient passer pour d’infâmes fachos quand on prenait la défense des enfants, de NOS enfants !!! Quelques mois après, le « Plan » se met en place dans les écoles, le totalitarisme du Gender infiltre jusqu’à l’enseignement des enfants en bas-age prétendant leur faire « découvrir leur véritable sexualité »… Qui s’en soucie encore ? Quel sera la prochaine étape bande de cinglés du Gender Totalitaire ? Enfants-en-gestation-dans-des-boites-de-conserve-a-ton-supermarché-pour-tous ? pédophilie-pour-tous ?

Pour ceux qui me traiteraient de « parano-intolérant », vous remets une petite vidéo instructive sur l’idéologue n°1 de la théorie du Gender : Alfred Kinsey



ALLEMAGNE : RESISTANCE CONTRE LA THEORIE DU GENDER

Le 18 janvier 2014, des parents ont organisé en Allemagne, à Cologne, une manifestation contre les cours obligatoires d’éducation sexuelle version gender, où les enfants dès la maternelle sont confrontés à un contenu pornographique explicite les invitant à tester sur eux des pratiques pas encore connues à leur âge. Suite à l’absence des enfants dans ces nouveaux cours d’éducation sexuelle, les parents ont reçu une amende à payer. Les récalcitrants ont été envoyés en prison pour 40 jours. Lors de la manifestation de ce 18 janvier, un couple qui a huit enfants, a parlé en public et expliqué qu’ils devaient aller en prison pour avoir refusé les cours sur le gender pour leurs enfants. L’association Besorgte Eltern (parents inquiets) dénombre 10 parents qui ont été mis en prison. « [...] Les organisateurs de la manifestation, se référant à la sociologue Gabriele Kuby qui dénonce le gender, explique que la masturbation doit être enseignée aux enfants dès l’âge de 0 à 4 ans ce qui n’est qu’une incitation au viol des enfants toujours selon Gabriele Kuby. « Le gender ou le sexe social a été démasqué comme un instrument politique du pouvoir pour détruire et déstructurer la société occidentale», explique (hélas en allemand) les auteurs du site dewion24 qui ont soutenu la manifestation du 18 janvier.Pour Gabriele Kuby,L’Union européenne, l’ONU, participent à la mise en place du gender qui est la culture de la mort. « Nous avons de nouveau à faire à une idéologie du mal qui s’oriente contre la famille », dit Gabriele Kuby qui dénonce le féminisme et qui réclame un retour du rôle de l’homme dans nos sociétés occidentales (hélas, en allemand, mais utile pour ceux qui parlent la langue de Merkel). Les associations de parents en Allemagne expliquent que la loi fondamentale n’est plus respectée car les parents ne peuvent plus éduquer leurs enfants selon leurs valeurs.

Pétition. En outre le Land du Bade-Wurtemberg, qui vient de passer entre les mains des Verts et du SPD, veut à partir de 2015 introduire à l’école des cours d’apprentissage de « la tolérance envers les diverses pratiques sexuelles ». L’initiative populaire « Contre le plan d’éducation 2015 de l’idéologie arc-en-ciel » a lancé avec succès une pétition pour retirer le projet des Verts et du SPD. 154.562 personnes ont signé la pétition. L’association Contre le plan d’éducation 2015 explique que les enfants doivent apprendre à connaître et à refléter à l’école les pratiques des lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels, du transgender, des transsexuels et des intersexuels. Les Verts du Parlement du Bade-Wurtemberg dénoncent, eux, un climat intolérable contre les homosexuels et les transexuels.

SUISSE : UN COFFRET « SEX BOX » DISTRIBUé AUX ENFANTS DANS LES ECOLES

Suisse : La ville de Bâle a introduit un coffret, le « Sexbox », contenant du matériel pornographique destiné à l’éducation sexuelle dans les écoles maternelles et primaires. L’association Protection contre la sexualisation à l’école maternelle et à l’école primaire a fait connaître cette initiative, ce qui a « déclenché une tempête d’indignation dans tout le pays» mais qui n’a pas empêché l’introduction dans les écoles maternelles des cours obligatoires d’éducation sexuelle dans toute la Suisse par l’Office fédéral de la santé publique (OFSP). Dans le canton de Bâle, des «Sexbox» contenant du matériel pornographique ont été préparées à l’intention des écoles maternelles et primaires ! Des enfants dès l’âge de quatre ans auraient à subir cette sexualisation précoce. »

Rappels sur le programme politique de la pédophilie chez les écologistes allemands :






Exemple d’éducateur pour petits enfants allemands avec Daniel Cohn-Bendit, député vert européen




FRANCE l’ABC DE l’EGALITE FAIT SCANDALE

Programme « ABCD de l’Egalité » dans les écoles : Une volonté de briser l’ordre naturel !

Après l’instauration du « mariage pour tous » dont le projet principal a été de participer à l’effondrement des valeurs traditionnelles de la famille, l’appareil d’état socialiste persiste et signe dans cette entreprise en s’intéressant, dorénavant, à l’éducation de nos enfants.La fédération LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels, Transsexuels) qui tend à lutter contre les « stéréotypes du genre » a enfin reçu les faveurs de l’État qui a démontré avec le temps que laïcité et inversion des valeurs allaient de pair… Les censeurs de l’Education nationale ont décidé que les valeurs de respect et d’égalité prônées par le lobby ultra minoritaire LGBT devaient être transmises dans les écoles et participer activement à la construction identitaire de l’enfant. Les parents, eux, sont d’emblée exclus de cette initiative, en ce sens que ni leur accord, ni leurs avis n’ont été pris en compte !En 2013, Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale, fit appel à l’universitaire Michel Teychenné pour établir un rapport sur les discriminations à l’encontre des lesbiennes, gays, bisexuels et transsexuels (« Discrimination LGBT – Phobes, états des lieux et recommandations – Juin 2013 »). En parallèle, le 16 mai 2013, le SNUIPP, principal syndicat enseignant du premier degré a présenté un rapport intitulé « Eduquer contre l’homophobie dès l’école primaire ». Ce rapport donne aux enseignants les outils théoriques et pratiques sur lesquels ils pourront s’appuyer pour aborder la question de l’homophobie et de la théorie du genre. L’idée est d’affirmer qu’on ne nait pas fille ou garçon mais qu’on devient fille ou garçon. On y trouve des chapitres intitulés : « Le genre, ennemi principal de l’égalité » ou« Déconstruire la complémentarité des sexes ».

Ainsi, dès le CP, les enseignants pourront lire (ou faire lire) à leurs élèves des livres tels que « Papa porte une robe », « Mehdi met du rouge à lèvres ». « Jean a deux mamans », « Dis… mamanS », « J’ai deux papas qui s’aiment », « Tango a deux papas et pourquoi pas ? », « La princesse qui n’aimait pas les princes », ou encore « Le petit garçon qui aimait le rose ». Ces quelques titres sont très révélateurs du message à transmettre aux jeunes enfants.

De septembre à la Toussaint, les enseignants ont d’ailleurs reçu des formations spécifiques les appelant à s’interroger sur leurs pratiques et à comprendre dans quelle mesure celles-ci pourraient contribuer à ne pas nourrir les stéréotypes à l’école.

En réalité, les rapports susmentionnés n’avaient d’autres objectifs que de préparer le lancement officiel du nouveau programme, le 13 janvier 2014. L’« ABCD de l’égalité », est donc un programme qui a été mené conjointement par Vincent Peillon, ministre de l’éducation nationale et Najat Vallaud-Belkacem, ministre des droits des femmes, entourés par le syndicat SNUIPP. Cette expérimentation est destinée à des élèves du primaire. Elle touche 10 académies, soit 275 écoles et plus de 600 classes. Quelle sera la prochaine étape ? Doit-on s’attendre à ce que le dispositif s’étende sur tout le territoire français à la rentrée de septembre 2014 ?

L’ABCD de l’égalité est en réalité un vaste programme de rééducation des masses engagé par Vincent Peillon et Najat Vallaud-Belkacem, dont nous avons appris qu’il était déjà en place depuis le mois de septembre et qu’il avait commencé par la formation des inspecteurs et des chefs d’établissements, constitue une pure et simple entreprise idéologique. Depuis la semaine dernière, les médias s’en font les porte-paroles les plus actifs. Objectif officiel : effacer les inégalités entre les sexes qui déterminent trop souvent l’orientation scolaire et professionnelle des garçons et des filles, ce depuis le plus jeune âge.

Objectif officieux officieux : extirper de l’esprit de nos enfants les stéréotypes liés aux genres qui déterminent leur vie.Pour réformer les esprits, Vincent Peillon, aidé de Najat Vallaud-Belkacem, a décidé de s’en prendre aux plus malléables, ceux des enfants. Mais pas seulement. « Najat Vallaud-Belkacem veut éduquer les pères » jugés responsables de transmettre à leurs enfants les idées stéréotypées selon lesquelles les filles ne peuvent qu’être coiffeuses, maîtresses d’école ou secrétaires et les garçons footballeurs, pompiers ou patrons, précisait Léa Salamé sur I>télé mercredi dernier. On avait compris que Mme Vallaud-Belkacem n’aimait pas beaucoup la masculinité, la voilà qui dévoile chaque jour un peu plus son fantasme d’un Etat maternaliste total.Pour se faire une idée de ce qu’est une idéologie en actes, il faut regarder le débat animé par Elisabeth Quin dans l’émission “28 minutes” d’Arte du 14 janvier, qui opposait Nicole Abar, ancienne footballeuse de haut niveau et chargée de mission pour l’ABCD de l’égalité et Nacira Guenif-Souilamas, sociologue sans arguments autres que son idéologie, à Olivier Vial, président de l’UNI et porte-parole de l’Observatoire sur la théorie du genre, dont les arguments factuels étaient constamment balayés par les deux idéologues.Pour commencer, les promoteurs de l’ABCD de l’égalité insistent sur le fait – censé nous rassurer –qu’il s’agit d’une expérimentation du ministère de l’Education nationale, expérimentation dont les enfants sont les premiers cobayes, mais qui n’oublie pas les adultes, coupables d’inculquer à leur progéniture les idées selon lesquelles un garçon et une fille, ce ne serait pas tout à fait pareil.

Soyez rassurés, nous dit-on encore, d’autres l’ont fait avant nous, notamment la Suède. Là, nous explique doctement un journaliste d’ I>télé, certains couples élèvent leurs enfants de la manière la plus neutre possible, en leur choisissant des prénoms qui ne soient pas « genrés » et sans jamais leur révéler leur identité sexuelle.

« Pop » n’est donc ni un garçon ni une fille mais seulement « Pop », paraît-il. Et de nous apprendre que les Suédois ont également introduit un nouveau pronom neutre dans leur langue, lequel remplace le « il » et le « elle », afin de promouvoir l’égalité des chances des filles et des garçons. « Cela est une question de démocratie » explique une directrice d’école interrogée par les journalistes en mission, lesquels nous apprennent également qu’une marque de vêtements suédois a supprimé de ses magasins les rayons filles et garçons pour ne pas jouer le jeu des stéréotypes de genre. Ces initiatives ne font pas polémique en Suède qui, nous dit-on encore, est un pays très avancé en ce domaine. La France est ainsi priée de se conformer à l’Esprit de l’Histoire que la Suède incarne aujourd’hui.

Malheureusement, on chasse le naturel, il revient au galop. C’est ce qui a été observé dans les écoles où les jeux neutres sont mis en avant (entendez des jeux où chaque rôle peut être tenu indifféremment par une fille ou un garçon). Dès qu’on cesse d’imposer ces jeux neutres aux enfants, les garçons retournent jouer aux pompiers et les filles à la dînette. Ainsi, nous explique Nacira Guenif-Souilamas, il faudrait commencer par changer le nom de l’école maternelle et l’appeler par exemple école passerelle. Avouons que ce terme a le mérite du flou, à défaut d’une consonance agréable.

Il faut ensuite travailler sur l’inconscient car les obstacles à la réussite des femmes viennent souvent d’elles-mêmes et sont invisibles ; les hommes, eux, répètent le même schéma inconsciemment et l’inculquent à leurs enfants.

Nicole Abar préconise donc de dépêcher plus d’enseignants hommes dans les petites classes du primaire car il ne faut pas seulement féminiser les professions masculines, mais aussi masculiniser les professions féminines. C’est un combat sérieux et Vincent Peillon l’affirme : « ce dispositif (l’ABCD de l’égalité) est tout sauf anecdotique ». C’est bien ce qui est en droit de nous effrayer. Va-t-on forcer les hommes à devenir instituteurs, puériculteurs et sages-hommes ? Va-t-on forcer les femmes à déserter ces emplois au nom de l’égalité hommes-femmes ?

Non, nul besoin de forcer qui que ce soit, nous le ferons de nous-mêmes. Nicole Abar nous explique déjà qu’une directrice qu’elle formait s’est reprise toute seule après avoir commis un horrible lapsus sexiste (genré dit-on dans leur langage). Elle avait d’abord dit qu’elle faisait jouer ses enfants « à la marchande ».

Reste une question essentielle : qu’est-ce qui fait naître chez certains de nos congénères l’ambition de rééduquer les masses malgré elles ? Au fond, c’est la seule question qu’il faudrait poser à Vincent Peillon et Najat Vallaud-Belkacem.

MANIFESTATION DANS LES ECOLES A MONTPELLIER



Une vingtaine de parents d’élèves réunis pour demander des explications. (D. R.)
Manifestation de parents, vendredi à La Paillade, contre ce qu’ils considèrent être des « histoires d’homosexuels ». Mais ne seraient-ils pas « sous influence » ?

La colère gronde dans certaines écoles de La Paillade. Vendredi, unevingtaine de parents d’élèves, pères et mères, ont demandé des comptes à l’un des directeurs d’établissement contre ce qu’ils considèrent être une sensibilisation abusive de leurs enfants à l’égalité des sexes.
Un travail pédagogique, intitulé ABCD de l’égalité, qui conduit, selon eux, les intervenants à  »lire des histoires d’homosexuels » en classe. « Ils veulentrentrer ça dans la tête de nos enfants pour voir leur réaction », s’indigne une mère.

Plusieurs titres d’ouvrages évoqués devant les enfants provoquent l’indignation :Medhi met du rouge à lèvres ; J’ai deux papas qui s’aiment… « Cette éducation-là appartient à la sphère privée, aux familles », reprend une autre maman. « On aurait au moins pu être alerté avant », ajoute un père particulièrement remonté. Ensemble, ces familles demandent un rendez-vous à la directrice d’académie.

Au cours des derniers jours, plusieurs enseignants ont été invités à s’expliquerpar les parents. Ils l’ont fait, parfois de manière embarrassée, mais sans lever les soupçons. « Je ne suis pas homophobe mais, en tant que femme voilée, avec le décret Chatel, je ne peux pas participer aux sorties scolaires. Pourquoi autorise-t-on ce discours dans les écoles laïques ? », ajoute une autre manifestante.
« Ces parents d’élèves ont des inquiétudes qui ne sont pas fondées », répond la directrice académique des services de l’Éducation nationale, Anne-Marie Filho. « C’est un enseignement à apprendre le respect de chacun, à apprendre aux filles et aux garçons à se respecter. Il est donné partout en France. Les directeurs d’école ont expliqué que les parents n’avaient rien à craindre. Il faut parvenir à les rassurer. »


L’idée d’une certaine récupération n’est pas écartée. Vendredi, au milieu des mères du quartier, une militante du mouvement La manif pour tous, créé pendant la contestation contre le mariage pour tous, incitait clairement à une mobilisation plus large « pour éviter que cet enseignement soit généralisé dans toutes les écoles à la rentrée prochaine ». Dans un tract, il est assuré que même lles crèches seront concernées.




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