Londres: encore une mise en scène?

Je n'avais pas l'intention d'aborder ce sujet au départ mais vu le ridicule de la situation et les quelques détails douteux qui sautent aux yeux, cela vaut la peine de se poser quelques questions. Jusque là peu d'informations ont filtré mais on commence à être rodé en ce qui concerne les opérations sous fausses bannières ou psychologiques et ça y ressemble grandement. Voyons ce que l'on peut observer d'après la vidéo et les informations relayés sans rentrer dans trop de suppositions. Chacun en tirera ses propres conclusions.



Voici d'abord la version officielle, provenant du journal Le monde:

"Deux hommes ont agressé dans une rue du sud-est de la capitale un soldat en civil, le poignardant à plusieurs reprises avec des couteaux de cuisine et un hachoir de boucher et le laissant pour mort au milieu de la route. Les deux agresseurs sont ensuite restés sur le lieu de leur crime, invitant les passants à filmer ou photographier la scène.

Sur une vidéo amateur obtenue par la chaîne ITV News, l'un des deux meurtriers déclare avec un fort accent londonien : "Je suis désolé que des femmes soient témoins de ça, mais, dans notre pays, les femmes voient les mêmes choses. Vous ne serez jamais en sécurité. Renversez votre gouvernement. Ils ne prennent pas soin de vous." "Nous devons les combattre comme ils nous combattent, œil pour œil, dent pour dent", a-t-il également dit, les mains couvertes de sang, alors que la victime gisait à quelques mètres derrière lui sur la route."Nous jurons par Allah le tout-puissant que nous n'arrêterons jamais de vous combattre", a-t-il ajouté.

Des témoins cités par l'agence AP ont affirmé qu'ils auraient tenté de décapiter la victime, sans que cela soit confirmé. Les deux hommes n'auraient pas cherché à fuir les lieux du crime après leur forfait. Une fois sur place les policiers ont ouvert le feu "sur deux hommes qui semblaient détenir des armes", a indiqué un responsable de Scotland Yard, Simon Letchford. Blessés, ils ont été admis dans deux hôpitaux londoniens. 
L'homme sur la vidéo a été identifié par la police, a indiqué le Dailymail. Il s'agirait vraisemblablement d'un anglais d'origine nigériane qui aurait dérivé vers l'islam radical. Mais, selon les premiers éléments de l'enquête, aucun lien n'est fait avec les djihadistes de Boko Haram, basés au Nigeria.

"DÉMARRER UNE GUERRE À LONDRES CE SOIR"
Visible sur la vidéo amateur, une femme s'est approchée des agresseurs : "J'ai pensé que c'était mieux que [leur attention] soit dirigée vers une personne comme moi au moment où des enfants commençaient à quitter l'école", a expliqué la chef scoute Ingrid Loyau-Kennett, 48 ans, au Daily Telegraph. Lorsqu'elle leur a demandé pourquoi ils avaient mené l'agression, l'un des hommes a dit qu'ils voulaient "démarrer une guerre à Londres ce soir".
La mère de deux enfants a accouru après avoir aperçu la victime étendue sur le sol et a tenté de prendre son pouls. Ce n'est qu'à ce moment qu'elle a remarqué l'arsenal composé notamment de couteaux et d'un revolver. "Il n'était pas drogué, n'était pas saoul, il était juste ébranlé, bouleversé", a-t-elle raconté à propos d'un des deux hommes, selon le journal. "J'ai dit 'maintenant, c'est vous contre une multitude de gens, vous allez perdre, que voudriez-vous faire ?' et il a répondu : 'Je voudrais rester et combattre.'" Elle a ensuite approché le second suspect et lui a demandé de lui donner ses armes
Le premier ministre britannique lui a rendu hommage, jeudi midi. ""Nos communautés vont s'unir" et l'illustration de cette union a été faite par l'intervention"courageuse d'Ingrid Loyau-Kennett qui s'est confronté à l'un des agresseurs" a-t-il dit."

Voici la vidéo qu'un passant aurait pris après l'attaque ou l'on voit l'un des deux auteurs dont l'un qui fait son speech:




1) Alors que l'homme aurait manqué de décapiter la victime et qu'ils l'auraient massacré à coup de machette et de couteaux d'après les témoins, on voit clairement ce qui s'apparente à du sang sur ses armes et ses mains mais juste un peu de sang qu'il s'est essuyé sur son pull et aucune flaque de sang autour de la victime (que l'on n'en voit pas sur ses vêtements encore passons vu que la prise de vue est assez lointaine mais il devrait y avoir du sang autour du corps vu l'ampleur de l'attaque, ça commence mal déjà).

2) Pourquoi les passants restent stoïques autour de la scène de crime? A part quelques passants qui viennent voir de prêt, tout le monde semble spectateurs et à la fois peu concernés par les événements. Ils servent de figurants pourrait-on dire...Que viennent faire les 3 témoins juste à côté du corps? Ils viennent de voir un homme se faire presque décapiter sous leurs yeux et deux d'entre eux trouvent le moyen de venir se balader autour du corps, le troisième s'étant carrément allongé à côté (ce qui montre bien qu'il n'y a pas de sang). Qui peut croire cela honnêtement? Est-ce un comportement censé de la part de quelqu'un qui vient d'assister à un meurtre sauvage?

3) Pourquoi les auteurs restent sur place après les faits en attendant patiemment de se faire cueillir alors qu'ils indiquent à une femme qu'ils veulent "démarrer une guerre". Pensaient-t-il pouvoir la mener avec quelques couteaux et une machette et s'en sortir?   

4) Pourquoi voit-on des marquages au sol tout le long de la scène de crime avec même des flèches près du trottoir ou l'on retrouve les deux personnes abattus? Aucune trace n'est visible lors des interviews en deuxième partie de vidéo qui se déroule visiblement dans une autre rue. Les traces n'apparaissent que dans la zone du crime et avant l'intervention de la police, ce n'est donc pas relié à l'enquête.
On voit même ici une marque blanche sur le lampadaire ou il fait son speech.


5) Comment se fait-il que le discours de l'homme est coupé lorsque la femme avec son chariot s’apprête à passer à ses côtés? Il semblerait pourtant qu'il avait d'autres choses à dire. Comparez également la vidéo plus haut avec celle ci et vous constaterez que la prise de vue n'est pas la même curieusement comme s'il ne s'agissait pas du même cameraman (son différent, caméra plus à gauche ne filmant pas le poteau mais ou l'on voit par contre le cadavre à droite contrairement à l'autre vidéo...bizarre). Comme par hasard, dans cette vidéo du Chicago Tribune, le passage avec la dame a été tout simplement retiré.

5) Pourquoi la police a mis une vingtaine de minutes à intervenir? Ne serait-ce pas pour leur donner le temps de faire leur speech? 

6) Une femme serait donc venu spontanément tenter de raisonner des meurtriers qui venaient de massacrer un homme, tout en leur faisant la morale et leur demandant leur armes. Un acte bien évidemment qui la propulse au rang de héro national pour son courage. Là encore, ça rappelle les héros des différents false flags passés. A Boston par exemple, Arredondo l'homme au chapeau est devenu le héros sauveur de l'Amérique contre le terrorisme tandis que Jeff Bauman le symbole de la souffrance des victimes. A chaque événement ces héros, pour Sandy Hook c'était aussi le cas. Tiens en parlant de Sandy Hook, j'ai découvert il y a peu qu'un exercice de la FEMA avait lieu le même jour sur le même thème un peu plus au nord en suivant la même route menant à l'école. Le thème était on ne peut plus clair: "permettre aux participants d'améliorer la prise en charge de leur communauté et les plans des opérations de secours concernant spécifiquement les besoins des enfants". Le cours leur fournira les informations nécessaires pour répondre aux besoins particuliers des enfants avant, pendant et après des catastrophes." Quel drôle de hasard n'est-ce pas? Un peu comme les exercices de déminage au marathon de Boston ou ceux d'attaques terroristes d'avions le 11 Septembre (et la liste ne s'arrête pas là).

Malgrès tout, il n'y a pour l'instant aucune preuve formelle qui permette de confirmer la thèse du false flag mais nous constatons que certains signes sont plus que suspects. 
Si vous avez remarqué quelque chose d'autre, n'hésitez pas à me l'indiquer par mail ou commentaire plus bas. Affaire à suivre.


source :  Fawkes News

Commentaires