Le nouveau Pape élue déjà condamné



Le cardinal Jorge Bergoglio pourrait être entendu par la justice française

 publié le 21/4/2011

Une juge d’instruction du tribunal de grande instance de Paris souhaiterait entendre l’archevêque de Buenos Aires (Argentine), le cardinal Jorge Bergoglio. Sylvie Caillard enquête sur le meurtre du prêtre français Gabriel Longueville survenu au début de la dictature argentine de 1976 à 1983. Elle voudrait interroger l’archevêque pour savoir « s’il existe des archives sur le dossier ici ou entre les mains du Vatican ».

Le P. Gabriel Longueville, natif du diocèse de Viviers, est parti en Amérique latine en 1968 à l’âge de 37 ans. À la demande de l’évêque local, il a mis l’accent sur la formation des laïcs et donné la parole aux sans-voix. Il est enlevé avec son vicaire argentin, le P. Carlos de Dios Murias, le 18 juillet 1976 :  tous deux sont torturés puis fusillés le même jour à Chamical, localité de La Rioja (nord-ouest). Quelques jours plus tard, l’évêque de cette province, Mgr Enrique Angelelli, périt à son tour sur la route, alors qu’il transporte des documents sur l’assassinat des deux prêtres. Depuis, ces documents ont disparu.

Le cardinal Jorge Bergoglio, 69 ans, est président de la conférence des évêques d’Argentine depuis 2005. Son éventuel interrogatoire par la justice française dépend de la justice de La Rioja qui doit accepter ou non cette requête.

Source : La croix

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En Argentine, un tribunal affirme la complicité de l’Eglise sous la dictature


Poignée de main maçonnique? 

publié le 14/2/2013

Pour la première fois un tribunal argentin a accusé l’Eglise catholique de complicité avec la dictature militaire argentine de 1976 à 1983. Dans son édition du mercredi 13 février 2013, le quotidien Pagina 12 publie un article intitulé « Une complicité qui se maintient au fil des ans »

L’auteur cite une partie de l'arrêt du 7 décembre dernier du tribunal federal de La Rioja (nord-ouest de l’Argentine). Celui-ci, long de 417 pages et signé par quatres juges a condamné à la prison à vie trois responsables du 3e corps de l’Armée : son chef Luciano Benjamin Menendez, le lieutenant-colonel Luis Fernando Estrella et l’ancien commissaire Domingo Benito Vera. 

« Les juges ont souligné “l’indifférence”, mais aussi la complicité de la hiérarchie avec l'appareil répressif, et même dans l'attaque menée contre des membres du Mouvement des prêtres pour le Tiers-Monde », souligne l’article. « Ils rappellent que les rapports de Mgr Enrique Angelelli, évêque de La Rioja, concernant la persécution de plusieurs membres de son équipe pastorale, aux autorités de l'Eglise ont été ignorés à l'époque. » Selon les juges, aujourd’hui encore, une certaine « réticence des autorités ecclésiastiques et même du clergé pour résoudre les crimes » perdure.

UNE HIÉRARCHIE INDIFFÉRENTE VOIRE COMPLICE
Le tribunal de la Rioja jugeait l’assassinat en 1976 de deux prêtres : l’Argentin Carlos de Dios Murias et le Français Gabriel Longueville. Le P. Longueville et son vicaire le P. Murias avaient été enlevés le 18 juillet 1976 dans la paroisse d’El Salvador d’El Chamical. Leurs corps criblés de balles avaient été retrouvés, les yeux bandés, dans un terrain vague de la ville. Le P. Longueville - l’un des 18 Français assassinés ou disparus durant la dictature - faisait partie du Mouvement des prêtres pour le Tiers monde, une des bêtes noires du régime. Un procès pour la béatification des deux prêtres a été ouvert par le diocèse en 2010.

Quelques jours plus tard, l’évêque de La Rioja, Mgr Enrique Angelelli, fut tué dans un accident de voiture provoqué. Il venait de constituer un dossier sur l’assassinat des deux prêtres. Le procès a permis de démontrer que Mgr Angelelli, ainsi que d’autres prêtres, avaient bien informé la Conférence des évêques sur la situation dans la région.

Selon les organisations des droits de l’homme, un évêque, au moins dix prêtres, deux séminaristes et cinq agents pastoraux ont été tués pendant la dictature. Dix autres prêtres, sept séminaristes et 45 agents pastoraux sont considérés comme disparus. Environ 30 000 personnes ont disparu pendant la dictature argentine entre 1977 et 1983.

Source : La croix

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Bergoglio, les pauvres et la dictature


L'archevêque de Buenos Aires est le nouveau pape. Il sera appelé François.



L'Argentin Jorge Mario Bergoglio, archevêque de Buenos Aires depuis 1998, a été officiellement désigné pape mercredi soir. Premier jésuite à devenir pape, premier pape non européen, ascète simple et proche du peuple, François - s'il s'inscrit dans une mouvance à contre-courant de l'"Église de la libération" -, incarnera sans doute un nouveau style de communication avec les fidèles. 

"La pauvreté est une violation des droits de l'homme"
Jorge Mario Bergoglio est le fils d'immigrés italiens. Fervent défenseur des pauvres, il n'a pas hésité à oeuvrer dans les bidonvilles argentins, estimant que "la pauvreté est une violation des droits de l'homme". Le choix du nom "François" est d'ailleurs une référence à saint François-d'Assise, qui abandonna tout pour servir les humbles. 

Bergoglio s'est régulièrement opposé aux autorités politiques de son pays, et notamment à Cristina Fernández de Kirchner, la présidente argentine, entre autres sur la question du mariage homosexuel auquel il était opposé. L'archevêque de Buenos Aires est proche du mouvement Communion et Libération, connu pour être conservateur. 

En 2005, le cardinal Bergoglio avait recueilli suffisamment de voix pour bloquer l'élection de Joseph Ratzinger, avant de laisser finalement entendre qu'il ne voulait pas être élu. Celui qui a délaissé la résidence des archevêques de la capitale argentine pour un petit appartement "écoute deux fois plus qu'il ne parle et perçoit bien plus que ce qu'il écoute", confiait un proche à La Croix en 2005. 

Intellectuel
Le cardinal Bergoglio bénéficie d'une solide formation intellectuelle. Après un diplôme de technicien chimiste, il intègre à 21 ans la Compagnie de Jésus et étudie la philosophie. Il terminera sa thèse en Allemagne, dont il parle la langue, revient pour enseigner et diriger l'université de San Salvador de Buenos Aires. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages théologiques. 

Le passé trouble de l'Église argentine
"L'Église d'Argentine est l'une des plus contestées d'Amérique latine pour sa passivité, voire sa complicité, à l'égard de la dernière dictature militaire de 1976-1983", rappelle la spécialiste Paula Paranagua. "Le national-catholicisme était l'idéologie dominante des forces armées, qui comptaient avec la bénédiction de la hiérarchie de l'Église. Contrairement aux Églises du Brésil et du Chili, qui ont joué un rôle capital dans la défense des victimes de la répression et dans la lutte pour les libertés, le clergé argentin a montré une indifférence coupable face aux horreurs commises. Les religieux et religieuses solidaires des Mères de la place de Mai n'étaient pas soutenus par leurs supérieurs, et ont payé parfois de leur vie leur fraternité", analyse-t-il. 

Or, les adversaires argentins de Jorge Mario Bergoglio ne manquent pas d'évoquer son rôle trouble durant la dictature : on l'accuse de ne pas s'être assez opposé à la répression. À l'époque, il était le "provincial" des jésuites, c'est-à-dire le responsable d'un ordre dont la priorité a toujours été l'éducation, très respecté pour ses lycées et universités.

La dictature argentine a fait près de 30 000 disparus, 15 000 fusillés, 9 000 prisonniers politiques, et 1,5 million exilés pour 30 millions d'habitants.

Source : le point.fr

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Cardinal Bergoglio accusé d'avoir volé des bébés pour la dictature


Le parquet de la Plaza de Mayo prétendu être appelé à témoigner dans le cas où le plan est le vol systématique des enfants  en captivité

L'accusation de la Plaza de Mayo aujourd'hui affirmé au tribunal et les juges du plan systématique de vol de bébés nés en captivité pour être appelé à témoigner le cardinal primat d'Argentine Jorge Bergoglio, qui, aujourd'hui, est de nouveau mentionné dans la cour pour crimes contre l'humanité.

Le chef de l'Eglise catholique en Argentine a été mentionné en relation avec le cas de la naissance et l'appropriation de la petite-fille de l'un des fondateurs  de la Plaza de Mayo, Alicia "Licha" sur le bloc.

Une fille de fort Licha, qui est décédé en 2008 à l'âge de 93 ans, il a demandé à la Cour fédérale en Juin, dont les juges, y compris l'ex-dictateurs Jorge Videla et Reynaldo Bignone pour l'appropriation des créatures qui ont fait disparaitre les  filles, et qui a appelé à témoigner comme témoin de Bergoglio.

"C'est la troisième fois que je demande à un tribunal: nous citerons à déclarer ou non nous allons citer à déclarer" Demanded Estela de la Cuadra, soeur Elena de la Cuadra, aujourd'hui disparu, la mère " Ana  qui est né et en captivité le 16 Juin 1977, à la 5ème station de La Plata.

Lorsqu'on lui a demandé le témoin, le président du tribunal, la juge Maria del Carmen Roqueta, a répondu que "en ce moment nous ne pouvons pas résoudre quoi que ce soit», mais à la fin de l'audience, les plaintes, y compris les grands-mères et procureur Martin Nicklinson , a demandé Bergoglio être appelé à témoigner dans l'affaire.

La créature est aussi la fille de Carlos Baratti, un travailleur de YPF, dont le corps a été retrouvé dans une station balnéaire sur la côte Atlantique, après avoir été jeté à la mer dans les "vols de la mort" que l'on a appelle a identifié il ya deux ans par l'Argentine anthropologie médico-légale.

Elle a rappelé que dans le cas de crimes commis au juge de l'AEMF Tribunal oral en mai que comprennent Alfredo Astiz, et a été créé dans l'épiscopat pour recueillir les témoignages de Bergoglio, de diligence au cours de laquelle il a dit qu'il avait appris les fait une dizaine d'années qu'ils avaient disparu ", à une question qui lui est posée par l'avocat querelllante Bregman Myriam.

«C'est le plaisir des choses que ces hommes et ces femmes (mères, grands-mères et grands-pères qui cherchaient leurs enfants et petits-enfants) a fait,« la femme qui grondait Bergoglio il a admis «ne sait pas où», mais il peut fournir «ce ce qui s'est passé et les mécanismes qui ont été mis en place "pendant la dictature.

le Regard réprimandé de la cour et les procureurs quant à savoir si ils avaient l'intention de demander le plus haut dignitaire de l'Eglise catholique en Argentine de "ce qui est arrivé à Ana sur le bloc" et si  Bergoglio garantit répondre à cette question par un tribunal qui juge une plan systématique pour voler les bébés.

"De (Jorge) Videla, là-bas, mais aussi des responsabilités pour les parties", at-il dit.
Il était également convaincu que, dans son témoignage à l'audience a démontré que l'Eglise était au courant de ce qui se passait avec les bébés qui ont disparu, et il a cité une lettre de 1979 à évêques que le propriétaire, l'archevêque de Cordoue Raúl Francisco Primatesta a répondu aux grands-mères, en disant qu'il était très peu qu'ils avaient pu faire à ce sujet.

Il a en outre fait valoir que Bergoglio ne pouvait pas prétendre ne pas savoir parce que c'était l'ignorance du public », comme le désespoir de ces gens divulgués par la disparition de leurs enfants."

«C'est absolument immoral", a dit le témoin qui est à la fois demandeur dans l'affaire, et fourni une abondante documentation sur le cours qui a suivi les Grands-mères de la Plaza de Mayo, depuis 1977, appelant à l'émergence de petits-enfants disparus depuis 1976.

De telles affirmations ont également mentionné des commandes individuelles qui ont  effectuées avec entité mère fondatrice, et notamment des entretiens avec Bergoglio mentionné quand il était provincial de l'ordre des jésuites des Jésuites.

Ce sens, a expliqué que parce que sa famille a été l'un des fondateurs de la ville de Balcarce, un terrain donné à l'église et après l'enlèvement de sa sœur enceinte, ses parents ont demandé l'aide de différentes strates,il réclame également l'autre manquant frère Roberto José

Source : Traduit de el dia

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"La police anti-mafia" a effectué un Raid au Bureau du pape tremblement potentiel


Sous l'illusion de la sainteté, l'Église catholique romaine est une organisation politique qui est ancré dans la corruption. Depuis que le pape a annoncé sa démission le mois dernier, il ya eu beaucoup de spéculations sur ses motivations, et l'avenir de l'église.

Sans surprise, les successeurs potentiels sont de mauvaise presse, ainsi, l'un des meneurs du pape même avait son bureau perquisitionné par la police cette semaine.


Alors même que les préparatifs de la masse ont été réalisés, le cardinal Angelo Scola, l'archevêque de Milan - et aurait le grand favori pour être le prochain pape - a subi un coup.
Anti-mafia détectives ont fondu sur les maisons, les bureaux, les cliniques et les hôpitaux de la Lombardie, la région autour de Milan et ailleurs. Un communiqué indique que le perquisitions faisaient partie d'une enquête sur «la corruption liée aux appels d'offres, et la distribution, les hôpitaux".

Il est probable que cette coutume a affectuer le vote, parce que les gens qui votent pour lui obtiennent juste au moment où beaucoup de peine, si ce n'est plus.


 qui est au conclave romain de choisir le prochain pape, à l'abri des prêtres  Los Angeles qui ont admis avoir molester des enfants . Cette question a été traitée à l'amiable en privé, dans une affaire de dix millions de dollars.

Bien qu'il n'y ait pas eu de confirmation officielle, il est probable que la démission du précédente papes est le résultat d'enquêtes en cours sur une dissimulation massive des abus sexuels.
Il ya eu des traces écrites cependant,


que le pape aurait appris d'un mandat d'arrêt juste avant sa démission.

Pour rendre les choses encore plus suspect, il a été rapporté par des sources traditionnelles nombreux que le pape va disparaître et être "cachée du monde" lors de sa retraite. 


«Dire qu'il allait bientôt être" caché au monde », le pape Benoît XVI a prit congé de tous les curés et les membres du clergé du diocèse de Rome, jeudi, 

Source : Traduit de intellihub





Commentaires

  1. Marie14.3.13

    cette élection ,est déjà si louanges ,est-ce un vrai vôte ou encore une "manipulation" ,nous le vivrons vite ! les jésuites ont toujours gouverné l"église ,tout le monde religieux ou laics "passe" par les exercices spirituels de la compagnie de Jésus !!
    est-ce pour reprendre le pouvoir ,alors que la sainte église est diviséee ,par tant de courants ,pouvoirs divers,de haine fratricide sous de beaux sourires médiatiques ;;

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