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Anneke Lucas est née en 1963. C'est une femme d'affaire belge, fondatrice du Liberation Prison Yoga
 (un organisme à but non lucratif fondé en 2014 visant à traiter par le 
yoga et la méditation les traumatismes physiques et psychologiques des 
personnes incarcérées).
Dans le témoignage vidéo ci-dessous, 
elle affirme avoir été vendue à un réseau pédocriminel Belge à l'âge de 6
 ans. Le même réseau qui a fait les gros titres lorsque l'affaire 
Dutroux a publiquement éclaté. Un réseau qui à l'époque menait sur la 
piste d'une certaine élite, on parlait alors de membres de haut rangs 
des forces de police, du gouvernement, de la famille royale ; avant que 
la "justice" et les médias ne réfutent l'existence du moindre réseau de 
ce type en Belgique…
Le témoignage de cette femme vient 
rajouter un énième élément quand à l'existence de ce Réseau de l'Horreur
 que les mass-médias s'acharnent à nier (pour ne pas dire couvrir) 
depuis trop longtemps ! Comme vous allez le voir, l'article de Anneke 
Lucas qui suit la vidéo contient les mêmes faits que dans les 
déclarations des témoins X de l'affaire Dutroux.
C'est en 1969 que Lucas dit avoir été 
vendue au réseau où elle était régulièrement violée et torturée, avant 
d'en être libérée en 1974 à l'âge de 11 ans. Lucas affirme avoir reçu 
des instructions de survie par celui qui l'a sauvé qui comprenaient le 
fait de déménager à Londres, Paris et New York. Après avoir vécu dans 
les trois villes en tant que jeune adulte, elle a déménagé à Los Angeles
 en 1986 où elle a commencé la thérapie, le yoga et la méditation.
Elle qualifie ce réseau de "Club élitiste" dans lequel certains "aristocrates" vont jusqu'à tuer des enfants… elle même ayant échappé de justesse à une mort certaine…
Mon nom est Anneke Lucas et j'étais une esclave sexuelle de l'élite européenne à l'âge de 6 ans.
Mon nom est Anneke Lucas et j'étais une esclave sexuelle de l'élite européenne à l'âge de 6 ans.
https://www.globalcitizen.org/fr/content/anneke-lucass-harrowing-tale-of-sex-trafficking-am/ - Traduction MK-Polis
 Quand j'étais une petite fille dans ma 
Belgique natale, j'ai été mise au travail en tant qu'esclave sexuelle. 
Ma mère me vendait et me conduisait partout où on l'appelait. Le patron 
de ce réseau était un ministre Belge et les clients étaient des membres 
de l'élite. J'ai reconnu des gens de la télévision, leurs visages 
étaient familiers pour la masse, tandis que j'étais confrontée au côté 
obscur de leur dépendance au pouvoir - le côté dont personne ne pense 
qu'il existe - Je suis tombée sur des V.I.P., des chefs d'états 
européens et même un membre de la famille royale.
Vers mon sixième anniversaire, en
 1969, j'ai été emmenée pour la première fois dans une orgie, cela se 
passait dans un château. J'ai été utilisée pour un spectacle de S.M., 
j'étais enchaînée avec un collier de chien en fer et on me faisait 
manger des excréments humains. J'ai ensuite été laissée là, comme un 
objet brisé, je me sentais tellement humiliée. Je devais faire quelque 
chose pour sauver mon âme, où bien - j'en étais certaine - je me serais 
flétrie pour finir par mourir.
Je me suis levée et je me suis mise à 
regarder cette foule bizarre d'aristocrates habillés comme des hippies, 
se balançant sur de la musique en ayant différents niveaux 
d'interactions sexuelles, occupés à se fournir les petites pilules et 
les joints pré-roulés proposés sur des plateaux d'argent par de sobres 
serveurs. Je tremblais de peur, mais mon corps se redressait et se 
calmait ; et j'entendais ma voix comme si elle n'était pas la mienne, 
réprimandant les adultes, leur disant que c'était mauvais, que j'allais 
parler d'eux et qu'ils iraient tous en prison...
La musique spatiale fusait dans l'air et
 la plupart des gens étaient trop perchés pour me remarquer. Un homme 
vêtu d'un costume d'affaire a attiré mon attention. Il avait l'air 
effrayé mais il a soutenu mon regard pendant un bref instant et a semblé
 avoir de la considération pour moi. Puis il est parti, je ne l'ai plus 
jamais revu dans le réseau, mais des années plus tard je l'ai apperçu à 
la télévision, il est devenu un éminent politicien belge.
J'ai été amenée dans une cave. J'étais 
certaine que j'allais y être tuée, mais on m'a montré le corps frais 
d'une jeune victime. Je devais garder le silence.
Pendant la semaine j'allais à l'école. 
J'étais une fille timide avec peu d'amis. Je me souviens une fois, en 
deuxième année, avoir pris conscience du changement énergétique dans la 
salle et réalisé que tous les yeux étaient braqués sur moi. Le 
professeur m'avait appelé et j'étais trop "space out" (dans la lune) 
pour l'entendre. Il me demandait si j'avais la réponse à sa question et 
je me suis assise dans un silence embarrassant pendant que toute la 
classe riait.
J'étais non existante à l'école, mais 
aussi à la maison, personne ne se souciait de moi. Je recevait plus 
d'attention par le réseau. Cela était bon de se sentir considérer comme 
le parfait objet, beau et sensuel, par des hommes puissants. C'était le 
seul point positif de ma vie, et je m'y raccrochais comme à mon seul 
radeau pour éviter de me noyer dans une mer de honte et de dégoût.
Après 4 années de survie dans le réseau,
 à l'âge de 10 ans, un nouvel invité a amené son fils de 20 ans, grand, 
fringant blond aux yeux bleus. Il s'avança vers moi, j'ai souri et il 
m'a appelé "petite putain". Pour la première fois depuis quatre ans, la 
première fois que j'avais été amenée à une orgie, j'ai de nouveau 
exprimé mes vrais sentiments. J'étais furieuse ! "Tu crois que j'aime ça
 ?!"... Cette interaction a été le début de l'année la plus intense de 
ma vie, durant laquelle je me sentirais plus que jamais aimée, regardée 
et comprise, et plus que jamais abusée par ce même jeune homme. Un an 
plus tard, je n'étais plus d'aucune utilité au réseau et devais être 
tuée. Quand ma torture commença, ce jeune homme resta debout en riant. 
C'était la troisième fois que mon corps fut rempli par une force 
surnaturelle. La féroce fierté a redressé mon corps. Une cigarette 
allumée a été éteinte sur mon avant-bras. Mon corps énergétique 
s'accrocha au sien par pure défiance. La pensée "Je n'ai pas besoin de 
toi !" était devenue moi, et tout ce que je voyais était l'énergie 
derrière l'océan trouble du bleu de ses yeux, et l'amour malgré toute la
 douleur qu'il m'avait infligé.
On m'a mené dans une petite pièce et on 
m'a attaché sur un bloc de boucher. L'homme qui me torturait était l'un 
des accusés de la célèbre affaire Dutroux, qui lorsqu'elle a éclaté dans
 les journaux en 1996, a failli faire sauter le réseau pédophile Belge. 
Mais 8 ans plus tard, seul Marc Dutroux a été condamné à perpétuité. 
J'aurais dû mourir ce soir de 1974, sur ce bloc de boucher ; mais ma vie
 a été sauvée à la dernière minute.
Alors que j'étais torturée, le jeune 
homme avait négocié avec le politicien responsable du réseau. Ils ont 
fait une affaire : il travaillerait pour lui, étendrait ses services en 
échange de ma vie. Cette bonne action a fini par lui coûter sa propre 
vie. Dans ce milieu, toute faille d'humanité est une faiblesse mortelle.
Ma vie a donc été épargnée et on m'a dit de rester silencieuse pour toujours. Il m'a fallu 40 ans avant que je puisse parler.
En 1988, alors que j'avais 25 ans, je me
 promenais dans le centre-ville de Los Angeles, près de Skid Row. C'est 
alors que j'ai eu un relent de fèces humaines dans les narines : j'étais
 submergée par le souvenir de l'humiliation extrême dont j'ai souffert 
étant enfant. Ma pensée immédiate a été "Si c'est vrai, je vais me 
tuer."
Je m'identifiais trop à l'expérience et 
la honte était trop accablante. Je n'était pas encore prête et j'ai 
repoussé cette mémoire dans mon subconscient. Il m'a fallu plusieurs 
années de plus, beaucoup d'heures de thérapie, pour pouvoir partager 
cette mémoire avec une personne sûre.
Je partage ici publiquement cette 
expérience pour la première fois, ayant finalement atteint un stade de 
ma guérison où j'ai accès une fois de plus à la force qui est passée à 
travers moi lors des moments de clarté dans le réseau. Je crois aussi 
que le monde est plus que jamais prêt à affronter ses ténèbres. Nous 
devons le faire si nous voulons survivre en tant qu'espèce.
Tous les survivants d'inceste, d'abus 
sexuels, de trafic sexuel, ont ma force. Bien que je souffre d'un ESPT 
(stress post-traumatique) et qu'il m'arrive de souffrir de nausées à 
chaque fois que j'entends un certain type de musique planante, je suis 
devenue suffisamment consciente des déclencheurs afin qu'ils ne 
contrôlent plus ma vie quotidienne. Il faut tellement d'énergie pour 
survivre, non seulement à la violence physique, mais aussi pour endurer 
les conséquences psychologiques des abus - pour porter cette honte.
Juste survivre à sa vie quotidienne tout
 en essayant de guérir des abus sexuels de l'enfance demande mille fois 
plus de force que pour quelqu'un qui n'a qu'à poursuivre une carrière 
réussie. Et la société valorise la personne de carrière au détriment du 
survivant.
Les adeptes du pouvoir, les leaders 
mondiaux et les politiciens corrompus qui abusent des enfant sont 
eux-mêmes comme des enfants qui n'ont jamais grandi, poussés au pouvoir 
pour éviter de ressentir l'humiliation de la maltraitance, cherchant 
inconsciemment à se venger d'une blessure en recyclant l'abus. Ils n'ont
 pas le courage de guérir.
Ceux d'entre-nous qui ont subi des abus 
sexuels, l'inceste ou le trafic sexuel, nous avons besoin d'apprendre à 
exploiter notre force de survie en notre propre nom. Ceci afin que nous 
puissions guérir notre égo endommagé et canaliser cette force pour 
ouvrir la voie vers un avenir où les anciennes victimes vaincront par 
l'amour, la compréhension et la compassion pour tous.
 Anneke Lucas
Anneke LucasLe contrôle de la descendance
Voici un court extrait d'un article du criminologue australien Michael Salter intitulé "The Role of Ritual in the Organised of Children".
- Cela reflète l'observation de Sara Scott* selon laquelle, dans les récits de survivants d'abus rituels qu'elle a interviewé, revenait régulièrement le discours de "féminité subordonnée" où la place des femmes était à la maison et dans laquelle l'obéissance au père ou au mari coexistait avec leur élévation rituelle".
Dans l'histoire de Lauren, l'élévation rituelle des femmes au sein de la violence organisée permet aux hommes de manipuler les filles et les femmes victimes, de les monter les unes contre les autres et de contrôler leurs capacités reproductives :
"Cela est pire pour les filles que pour les garçons. Ils font ça parce que les filles sont celles qu'ils veulent vraiment contrôler. Parce qu'ils savent que si ils ont le contrôle sur la fille, au moment où elle sera une femme alors ils auront la prochaine génération. Et cette femme va juste lui tourner le dos, elle ne s'inquiétera même pas de ses propres enfants. Il est donc vraiment primordial pour eux de la contrôler dès son plus jeune âge."
* Beyond disbelief: the politics and experience of ritual abuse. Open University Press: Buckingham - 2001 p.130
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Source : http://mk-polis2.eklablog.com

Encore une énième preuve que la pédophilie et satanisme se tiennent par un fil, l'un et ayant besoin de l'autre et vice-versa. Les psychopathes sont au pouvoir virtuel de ce monde, le malin pour l'instant gagne et le pire c'est que ces dégénérés croient en son salut alors qu'il punira leur âme vendu aussi. Entre perversité et occultisme, maîtres mots qui gouvernent ce monde. C'est aux humains de se sauver et de montrer leur honneur au lieu de rester dans cette matrice matérialiste. Ça va faire très mal lorsque le jugement viendra, en tout cas les victimes en ressortiront fortes et près du ciel regardant leur bourreau se faire dévorer par le purgatoire de l'âme, même pas sur qu'ils y survivent tellement qu'ils ont dépassé le malin dans la barbarie sans nom.
RépondreSupprimerEntièrement d'accord avec vous, je suis scandalisée par tout ses malades du sexe.
SupprimerJ'ai une pensée particulière à tous les enfants esclaves de ses monstres qui nous gouvernent et la royauté. Honte a votre race messieurs.