Une entreprise liée à George Soros fournit des machines de vote pour 16 États américains


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L’inquiétude grandit sur les révélations que les machines de vote dans un nombre significatif d’Etats seront contrôlés par une société liée directement à George Soros et sa quête personnelle pour créer un état global sans frontières, anational. « Si les liens de Malloch-Brown avec Soros ne sont pas inquiétants, il a aussi des liens avec les Clinton à travers son travail avec deux cabinets de conseil. »
Smartmatic Group, une société de vote électronique, dont le siège mondial se situe au Royaume-Uni, a été choisie pour la gestion du vote dans plusieurs états pour la présidentielle US.
Le président du conseil de Smartmatic Group, Lord Mark Malloch-Brown, siège également au conseil de la Fondation de George Soros, l’Open Society Foundation, et entretient des liens étroits avec le milliardaire.










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Le vote électronique, par nature, est falsifiable. Quand un ordinateur a enregistré un certain nombre, rien ne permet de prouver que cela aurait du être un autre nombre. Les programmes au code source opaque peuvent très bien tricher directement, et même lorsque ce n’est pas le cas, cela peut être piraté et totalement truqué (en).

C’est la matérialité même du bulletin de vote papier qui peut permettre d’assurer une protection contre la fraude, quand on y adjoint certaines protections (urne transparente, surveillance du début à la fin par des représentants des différents candidats, etc.).
Mais si le vote électronique est déjà vulnérable, alors quand la machine à voter est dans les mains d’un des camps politiques…

Selon le Daily Stormer :

Le diabolique George Soros n’est pas seulement en proche contact avec la campagne Clinton, mais a aussi ses tentacules dans une entreprise fournissant des machines à voter à travers les États-Unis. De manière évidente, ça n’est pas bon.
Daily Caller :
Smartmatic, une entreprise de technologie de vote basée au Royaume-Uni avec des liens profonds avec George Soros, a le contrôle sur les machines à voter dans 16 États, y compris des zones de combat comme l’Arizona, le Colorado, la Floride, le Michigan, le Névada, la Pennsylvanie et la Virginie. D’autres juridictions affectées sont la Californie, le District de Columbia, l’Illinois, la Louisiane, le Missouri, le New Jersey, l’Oregon, le Washington et le Wisconsin.

Son site internet comporte un organigramme qui décrit comment l’entreprise a contribué aux élections aux États-Unis de 2006 à 2015, avec « 57.000 machines de vote et de compte déployées » et « 35 millions d’électeurs assistés ».
En 2005, Smartmatic avait racheté l’entreprise californienne Sequoia Voting Systems et était entrée dans le monde des élections américaines.
Selon le site internet de Smartmatic, « en moins d’un an Smartmatic a triplé la part de marché de Sequoia » et « a offert des services de technologie et de soutien aux commissions électorales de 307 comtés dans 16 États ».
[…]
Le président de Smartmatic est Lord Mark Malloch-Brown, qui siège à la Chambre des Lords britannique, et au conseil d’administration de l’Open Society Foundations de George Soros. Il était précédemment le vice-président du Fonds d’inverstissement de Soros et même vice-secrétaire général des Nations Unies quand il travaillait comme chef de cabinet pour Koffi Annan.
De manière comique, nous voyons les merdias dirent que Donald Trump est fou pour soulever des inquiétudes sur le potentiel truquage de l’élection à venir. Si un nombre suffisamment élevé d’État utilisent des machines d’une entreprise dirigée par l’un des hommes de main de Soros, Trump a absolument raison d’être inquiet.

Ceci est particulièrement vrai à la lumière des vidéos en caméra caché obtenues par James O’Keefe du Projet Veritas.


Pour l’essentiel, le discours de Trump sur le truquage de l’élection se concentre sur les mensonges éhontés des médias, mais il n’écarte pas non plus le risque de la fraude électorale.

Source : https://resistanceauthentique.net/

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