Quand Bill Clinton viole des femmes, les médias parlent de … Trump


Un très vieil enregistrement de Donald Trump d’il y a 11 ans, alors qu’il était invité à participer à une émission de variétés et qu’il ne savait pas que son micro était allumé, vient « miraculeusement » de faire surface, où il parle de ses prouesses avec les femmes dans les termes qu’on utilise dans les salles de garde.

Les médias se sont jetés sur cet enregistrement pour assassiner Trump et c’est logique : ils font tout pour que Donald Trump ne soit pas élu.

Des politiciens ont déclaré que ces mots disqualifient Donald Trump pour la Maison-Blanche, oubliant que Bill Clinton a été à ce poste tout en se rendant coupable non pas de mots, mais d’agissements sexuels répréhensibles.

Donald Trump vient de présenter des excuses publiques pour ces propos, tenus il y a 11 ans. Elles ne seront pas publiées. Les médias font comme si elles n’existent pas :

Here is my statement. pic.twitter.com/WAZiGoQqMQ

Tout comme ils ne publieront pas les déclarations d’Hillary Clinton, alors avocate, se vantant d’avoir obtenu l’acquittement — grâce à des vices de procédure — du pédophile qui avait violé une fillette de 12 ans, et déclaré en riant aux éclats qu’elle savait qu’il était coupable :



Oui, les médias se sont jetés sur les propos déplacés de Donald Trump et ont étouffé les propos scandaleux de Clinton.

Quelle est la valeur de leurs leçons de morale, quand ils restent silencieux concernant la débauche de Bill Clinton — et je ne parle pas ici de Monica Lewinsky ?

Que valent leurs simulacres, quand ils cachent les campagnes de diffamation montées par Hillary Clinton pour traîner dans la boue et détruire la réputation des femmes sexuellement agressées par son mari, elle qui se dit la championne de la cause des femmes ?

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  • Vous avez tous connaissance maintenant — ou vous allez bientôt l’apprendre — de l’existence de cet enregistrement où Donald Trump dit, entre autres, « Je suis automatiquement attiré par les belles femmes, c’est comme un aimant… quand vous êtes une star, elles vous laissent faire… vous pouvez tout leur faire. »
  • Mais avez-vous jamais entendu ces mêmes médias rapporter que Bill Clinton a violé Juanita Broaddrick non pas une, mais deux fois, en 1978 alors qu’il était procureur général de l’Arkansas ? Et qu’il l’a harcelée pendant encore 6 mois pour tenter de la rencontrer à nouveau ?
  • Avez-vous entendu parler de Paula Jones, ex-fonctionnaire de l’Arkansas, qui a poursuivi Bill Clinton en justice pour harcèlement sexuel, ce qui a donné lieu à une transaction où elle a reçu 850 000 dollars, et provoqué la destitution de Clinton de la Chambre des représentants, bien avant son impeachment de la présidence dans l’affaire Lewinsky ?
  • Kathleen Willey ? Les médias parlent-ils de Kathleen Willey, cette assistante-bénévole à la Maison-Blanche qui a révélé avoir été sexuellement abusée par le Président Bill Clinton le 29 novembre 1993, durant son premier terme, soit deux ans avant sa relation sexuelle avec Monica Lewinsky ?
  • Eileen Wellstone, violée par Clinton après une rencontre dans un pub près d’Oxford University en 1969,
  • Carolyn Moffet, secrétaire juridique à Little Rock en 1979, qui a réussi à fuir de la chambre d’hôtel où le gouverneur Clinton l’avait attirée pour lui demander des faveurs sexuelles,
  • Elizabeth Ward Gracen, Miss Arkansas en 1982, qui a accusé Clinton de l’avoir forcée à avoir des rapports sexuels avec lui juste après la compétition pour Miss Arkansas,
  • Becky Brown, la nounou de Chelsea, la fille des Clinton, qu’il a tenté d’attirer dans une chambre pour avoir des relations sexuelles avec elle,
  • Helen Dowdy, la femme d’un cousin d’Hillary, qui a accusé Bill Clinton, en 1986, d’attouchements sexuels  durant un mariage.
  • Cristy Zercher, hôtesse de l’air lors de la campagne de Clinton de 1991-1992, qui a déclaré à Star magazine avoir été victime des attouchements sexuels de Clinton pendant 40 minutes dans le jet de la campagne sans pouvoir se défendre…
Ont-ils rué dans les brancards ? Non. Vous ont-ils informé ? Pas plus. Ont-ils dénoncé le comportement d’Hillary Clinton en ses occasions ? Encore moins.

Pourquoi ? Parce que les journalistes permettent qu’un homme de leur camp viole des femmes, les agresse sexuellement, force une stagiaire à faire des pipes au président dans le bureau ovale, mais ils sont scandalisés qu’un homme de droite prononce des mots sexuellement déplacés.

Voilà de quoi est fait le monde médiatique en décomposition.

C’est à vous et à vous seul de réagir et d’en tirer les conséquences. C’est à vous de prendre les bonnes décisions et de ne pas céder aux chantage du double standard que les médias, dans leur dépravation morale, tentent de vous imposer — sur tous les sujets.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Source : http://www.dreuz.info

Commentaires

  1. Anonyme14.10.16

    prendre les bonnes décisions c'est fait, mais par contre avec du retard, malheureusement pour les victimes les enfants et bébés violés, par ceux qui parlent aujourd'hui mais qui n'ont pas parlé hier et c'est là toute la cause du problème...

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  2. Anonyme14.10.16

    TRUMP ou CLINTON tous pourris, il n'y a qu'à voir d'où ils viennent

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  3. Anonyme15.10.16

    Clinton est aussi gay, violeur de gosses, assassin, homosexuel enfin la totale, il va mourir du SIDA

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  4. Anonyme15.10.16

    qu'il meure de la vérole dans d'atroces souffrances

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