Une équipe de France 2 surprise par des tirs d'obus en plein reportage, Daesh ou les rebelle syriens modérés ?

Les reporters de France 2 ont essuyé des tirs de char, dont l'un des obus a explosé à une vingtaine de mètres d'eux. Un reportage exclusif de Franck Genauzeau et Giona Messina, qui accompagnaient l'armée syrienne.


Alep et ses alentours restent un des champs de bataille les plus disputés de la guerre en Syrie. Les reporters de France 2 ont constaté que la guerre contre le groupe Etat islamique était loin d'être gagnée par les soldats russes et l'armée syrienne.

"Il y avait beaucoup de combattants de Daech et ils savent très bien se défendre. Ils étaient très bien organisés" confie un soldat syrien, non loin de l'aéroport d'Alep, la deuxième ville de Syrie, dans le nord-ouest du pays.

L'équipe de France 2 a essuyé des tirs d'obus

L'attaque d'une centrale électrique par les soldats de l'armée loyaliste est mise à dure épreuve par la défense acharnée et l'armement lourd des jihadistes de l'Etat islamique. L'équipe de reporters de France 2 a essuyé des tirs d'obus et de mortiers, dont l'un est tombé à une vingtaine de mètres d'eux. 

"Pas de blessé par miracle", disent Franck Genauzeau et Giona Messina qui ont vite quitté les lieux.

A Homs, une autre ville du centre du pays, les habitants sont également traumatisés après un attentat perpétré par un kamikaze de l'Etat islamique. L'explosion a fait 24 morts et une centaine de blessés.

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