Communiqué du collectif citoyennes et citoyens…


Bonjour Citoyennes et Citoyens,

Nous vous informons, et vous communiquons les supports de base, qui vont être diffusés sur l’ensemble du territoire, afin d’appeler à La Grève des élections.

Nous sommes un collectif de citoyennes et citoyens qui refusons l’escroquerie du système électif.

Celui-ci, ne nous proposant que d’avoir la liberté de confier un chèque en blanc aux politiques professionnels sélectionnés par les Partis, ou le recours inutile du Vote Blanc ; nous appelons l’ensemble des citoyennes et citoyens, qui refusent de n’avoir que ces choix, à se manifester.


Le Contrat Social à la base de notre société n’est plus en phase avec nos institutions.

Nous devons écrire une nouvelle Constitution, et il faut qu’enfin, elle soit écrite par NOUS.

Le Tirage au Sort ainsi que pour la désignation des Jurys de Cour d’Assises, est la seule garantie que nous ayons de voir, enfin, le peuple être représenté et d’être ainsi à même de faire ses lois, et de contrôler leurs exécutions et leurs applications. 

Vous trouverez ci-joint, les deux supports de base de l’appel à la grève des élections pour la convocation d’une Assemblée Constituante issue d’un Tirage au Sort.

Nous vous invitons à les diffuser le plus largement possible autour de vous, tant grâce à vos imprimantes, qu’en retransmettant cet appel vers l’ensemble des médias et sur les réseaux sociaux.

Il est temps que le système électif soit remis en cause, et que soit mis sur la place publique la question de la rédaction d’une nouvelle Constitution.

Et celle-ci doit être écrite par NOUS.

NOUS, PAR NOUS, POUR NOUS !

C’est cela la Démocratie.

Collectif des Citoyennes et Citoyens.
NB : Afin de vous permettre de vous informez, et vous donnez plus d’éléments de réflexions, nous vous invitons à visiter les sites suivants :







Vous pouvez télécharger les flyers et affiches:


Commentaires

  1. Anonyme23.11.15

    Bien joué le peuple Français,lorsque j'ai cliqué" les citoyensconstituants",les voleurs a l'arraché m'ont envoyé une menace sur internet impossible d'ouvrir!!!! nous sommes surveillés comme le lait sur le feu!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Je vous aime

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    1. DE TOUTE MANIERE SA SERT STRICTEMENT A RIENS DE VOTER DES PROMESSE EST ILS NE FONT STRICTEMENT RIENS JE SUIT CONTENT DE NE PLUS VOTER VUE QUE ON MA RETIRE MA CARTE D'ELECTEUR A MA SORTIE DE PRISON

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  2. Anonyme24.11.15

    j'essaye de dire aux gens de ne plus voter m^me blanc mais ils ont peur pour leur retraite à fond dans la matrice, à côte de ma grande affiche des chemtrails que j'ai déjà affichée devant ma porte je vais y coller l'affiche NOUS, PAR NOUS, POUR NOUS, plastifiez-là et scotchez-là sur votre porte et distribuez des tracts

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  3. Anonyme24.11.15

    Je lis :"Vous pouvez télécharger les flyers et affiches"et je ne suis pas d'accord avec le mot FLYERS qui est un mot anglais !! Si nous voulons être respectés, respectons notre langue ! C'est une question très sérieuse et elle n'émane pas d'un franchouillard grincheux . Dans le concert des nations, le monde a besoin de l'expression de la civilisation française faite en Français et non pas de simili-anglophones au cerveau formaté à l'esclavage total qui vient. Il est très différent de dire " faire une promenade" ou bien de dire "to take a walk" il est très différent de vouloir faire de l'Europe un supermarché, ou bien de vouloir bâtir une communauté de peuples. Des pli ke estas rimedo por tio!!R.B.

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  4. Anonyme25.11.15

    L'Heure est Grave

    Le 16 novembre 2015, le Président de la République déclarait : « J'estime en conscience que nous devons faire évoluer notre Constitution pour permettre aux pouvoirs publics d'agir conformément à l'Etat de droit contre le terrorisme de guerre ». Il annonçait ainsi charger le Premier ministre de préparer une révision de la Constitution.

    Qu'est-ce que la Constitution ? Il s'agit du texte fondateur de l'Etat français actuel datant du 4 octobre 1958 qui instaure la Vème République depuis son adoption par référendum le 28 septembre 1958. La Constitution organise la répartition entre les différents pouvoirs politiques (législatif/Parlement, exécutif/Chef de l'Etat-Gouvernement, judiciaire) et reconnaît des droits et libertés aux citoyens français. Elle est la norme de référence tant pour l'Etat ainsi créé que pour les citoyens vivant sur son territoire. L'Etat de droit est, par conséquent, un Etat soumis au droit, il doit agir conformément aux règles juridiques, dont la Constitution qui est la norme suprême de l'Etat.
    → Pour consulter ladite Constitution, voir notamment http://www.assemblee-nationale.fr/connaissance/constitution.asp

    Qu'est-ce qu'une révision de la Constitution ? Il s'agit d'apporter des modifications à ce texte fondamental, soit en supprimant soit en ajoutant des règles afin de faire évoluer le fonctionnement de l'Etat. Cela est possible en vertu des dispositions de l'article 89 de la Constitution qui instaurent une procédure spéciale permettant de la réviser.
    → Article 89 de la Constitution :
    « L’initiative de la révision de la Constitution appartient concurremment au Président de la République sur proposition du Premier ministre et aux membres du Parlement.
    Le projet ou la proposition de révision doit être examiné dans les conditions de délai fixées au troisième alinéa de l’article 42 et voté par les deux assemblées en termes identiques. La révision est définitive après avoir été approuvée par référendum.
    Toutefois, le projet de révision n’est pas présenté au référendum lorsque le Président de la République décide de le soumettre au Parlement convoqué en Congrès ; dans ce cas, le projet de révision n’est approuvé que s’il réunit la majorité des trois cinquièmes des suffrages exprimés. Le Bureau du Congrès est celui de l’Assemblée nationale.
    Aucune procédure de révision ne peut être engagée ou poursuivie lorsqu’il est porté atteinte à l’intégrité du territoire.
    La forme républicaine du Gouvernement ne peut faire l’objet d’une révision. »

    Existe-t-il des limites à la révision de la Constitution ? Pour éviter toute modification abusive de la Constitution, celle-ci prévoit en effet des garde-fous ou limites. On trouve notamment à l'avant-dernier alinéa de l'article 89 de la Constitution qu'« Aucune procédure de révision ne peut être engagée ou poursuivie lorsqu'il est porté atteinte à l'intégrité du territoire ».
    → Pour approfondir, lire notamment http://www.conseil-constitutionnel.fr/conseil-constitutionnel/francais/la-constitution/la-constitution-de-1958-en-20-questions/la-constitution-en-20-questions-question-n-20.25811.html

    Or, depuis le 14 novembre 2015, l'état d'urgence a été décrété par le Président de la République suite aux attentats survenus à Paris la veille. D'une durée initiale de douze jours, il a été prolongé de trois mois par la loi du 20 novembre 2015. L'état d'urgence est la manifestation d'une atteinte à l'intégrité du territoire français.

    Ainsi, peu importe le contenu du projet de révision, dès lors que l'intégrité du territoire français est atteint, il est expressément interdit de procéder à toute modification de la Constitution.

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  5. Anonyme25.11.15

    Au-delà, il est envisagé de modifier notamment les dispositions de l'article 16 de la Constitution qui confèrent au Président de la République les pleins pouvoirs en circonstances exceptionnelles.
    → Article 16 de la Constitution :
    « Lorsque les institutions de la République, l’indépendance de la Nation, l’intégrité de son territoire ou l’exécution de ses engagements internationaux sont menacées d’une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le Président de la République prend les mesures exigées par ces circonstances, après consultation officielle du Premier ministre, des Présidents des assemblées ainsi que du Conseil constitutionnel.
    Il en informe la Nation par un message.
    Ces mesures doivent être inspirées par la volonté d’assurer aux pouvoirs publics constitutionnels, dans les moindres délais, les moyens d’accomplir leur mission. Le Conseil constitutionnel est consulté à leur sujet.
    Le Parlement se réunit de plein droit.
    L’Assemblée nationale ne peut être dissoute pendant l’exercice des pouvoirs exceptionnels.
    Après trente jours d’exercice des pouvoirs exceptionnels, le Conseil constitutionnel peut être saisi par le Président de l’Assemblée nationale, le Président du Sénat, soixante députés ou soixante sénateurs, aux fins d’examiner si les conditions énoncées au premier alinéa demeurent réunies. Il se prononce dans les délais les plus brefs par un avis public. Il procède de plein droit à cet examen et se prononce dans les mêmes conditions au terme de soixante jours d’exercice des pouvoirs exceptionnels et à tout moment au-delà de cette durée. »

    Cette révision envisagée qui appelle naturellement la mise en œuvre à venir des pleins pouvoirs présidentiels est, d'une part, une confirmation de l'atteinte à l'intégrité du territoire et, d'autre part, impossible juridiquement à adopter sauf à ne pas se conformer à l'Etat de droit ainsi qu'au principe démocratique qui a permis l'adoption de cette Constitution. Est-il nécessaire de rappeler que « La souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum » aux termes de l'article 3 de la Constitution et que le droit de résistance à l'oppression fait partie « des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme » selon les dispositions de l'article II de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 qui figure dans le préambule de la Constitution ?

    C'est dire ce qui attend les citoyens français, un Etat soumis au droit qu'il aura moulé à l'envie au préalable...

    Citoyenne avertie

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