18 134 faillites d’entreprises en 3 mois, 66.000 postes en danger, les médias n’en parlent pas



Nos médias Français ont la fâcheuse tendance de ne traiter que le futile, ils s’intéressent par exemple énormément aux derniers déboires de Nabilla ou d’une autre starlette dont la télé-réalité produit par dizaines. Nos élites journalistiques aiment aussi lorsque l’actualité évidente les oblige à malgré leurs dénégations en toucher quelques mots à travestir la réalité ou à utiliser le politiquement correct afin de ne pas mettre de mots sur les maux.

On parle ainsi de vandalisme et non de profanation de tombes chrétiennes, on ne donne jamais les origines des différents contrevenants pire on cache leurs patronymes, on évite soigneusement de certaines informations impactant la vie des français en surjouant une information mineure, on bidouille les chiffres relatifs à l’économie du pays, de l’immigration, de la sécurité, des impôts en jurant la main sur le cœur que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Dernière trouvaille en date des médias complices du pouvoir est ce qu’ils appellent les « décodeurs » machine à déconstruire toute information n’allant pas dans le sens de la doxa. J’en ai plusieurs fois été victime sur des nouvelles qu’il fallait décrédibiliser car anticonformiste, nos journalistes utilisant une contrevérité utilisée souvent par des comptes créés par eux-mêmes pour mettre à mal l’information. Ainsi, ils ont des faux comptes Twitter du FN relayant un article pour dénoncer après que ce qui est la vérité est une arnaque car repris par le Front national. Drôles de méthodes n’est-il pas ?

Il en va de même pour la dernière information révélée hier par le site boursier.com et commentée par aucun grand média. Ainsi, nous apprenons que « les entreprises sont toujours en difficulté, alors que 18.134 d’entre elles ont été placées en procédure de sauvegarde, de redressement ou de liquidation judiciaire au premier trimestre en France. » Entrainant « 66.000 postes supprimés, selon Altarès, soit là aussi un plus haut depuis six ans. Les entreprises de plus de 50 salariés sont toujours les plus protégées, avec 118 défaillances enregistrées de janvier à mars, tandis que les PME les plus modestes payent le plus lourd tribut : 800 PME de 10 à 19 salariés (+12%) et 350 de 20 à 49 salariés (+26%) ont déposé le bilan depuis le début de l’année. »

« Le bâtiment et la restauration restent les secteurs les plus sinistrés. Le premier concentre un redressement judiciaire ou liquidation judiciaire sur quatre (26%), avec 4.635 faillites d’entrepreneurs, soit 11% de plus qu’il y a un an. « Le pic précédent avait été atteint début 2010 avec 4.400 défaillances », écrit le cabinet. Par ailleurs, l’hébergement (189 ; + 24%), les débits de boisson (352 ; +25%) et la restauration (1862 ; + 19%) établissent eux-aussi de nouveaux records. »


C’est très important, les Français devraient le savoir, mais non omerta des médias, personne ne veut même prononcer ces mots de faillite. Un peu comme en URSS lorsque le peuple était ignorant de tout. Seulement notre peuple a plus d’intellect que nos élites mondialisées le pensent, d’abord parce qu’ils n’ont pas confiance dans ce qu’on veut leur faire avaler, et enfin ceux-ci s’informent de différentes façon, ils ne sont plus les yeux rivés devant les JT. Au grand dam des « propagandeurs » d’Etat.

Commentaires

  1. Anonyme20.4.15

    Hmm ..plutôt ceci :
    « ...Mission accomplished !.. »

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  2. Anonyme25.4.15

    bientôt nous travaillerons comme des chinois,les rôles vont s'inverser si on ne fait rien bordel !!!! c'est l'histoire de la grenouille dans la marmite d'eau froide sur le feu,elle nage et ne réagit pas vraiment quand la température monte,mais quand c'est trop chaud, c'est trop tard !!!

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