Le « secret » d’Hanoucca


Dans le Judaïsme, la Menorah Hanoucca est le symbole de la position suprême occupée par le peuple du Talmud aux yeux de Dieu.

Le 17 décembre est le premier jour d’Hanoucca. D’après Michael Hoffman, le « secret » d’Hanoucca est que cette fête commémore le « ravissement divin » à l’égard du peuple Juif. La mégalomanie juive et la haine du Christ se trouvent derrière la suppression des célébrations de Noël.


Hanoucca est une période de fête s’étalant sur huit jours et célébrant la re-consécration du Temple Sacré à Jérusalem au cours de la révolte Maccabéenne du 2ème siècle Av-J.C. Typiquement, des bougies à l’huile durant un ou deux jours brûlent pendant huit jours, un signe de faveur divine symbolisée par l’illumination de la Menorah.

Par Michael Hoffman (Abrégé par Henry Makow)

Qu’est-ce qu’Hanoucca ?

Hanoucca est un congé Talmudique célébré de manière superficielle en dans l’état Israélien ainsi qu’aux États-Unis de plus en plus dans un esprit de compétition avec Nöel, de manière à affirmer symboliquement la suprématie de Klal Yisroel (le peuple Judaïque) sur le reste de l’humanité.

Le secret d’Hanoucca fut révélé par le rabbin Levi Isaac ben Meir de Berdichev (renommé le « Levi de Kedushat » d’après son traité éponyme.), une éminente autorité halachique (légale). Le rabbin Meir révéla un secret qui n’est connu que de quelques-uns : le fait d’allumer la menorah d’Hanoucca ne commémore pas la victoire des Maccabées bibliques.

La doctrine traditionnelle du Hazal (c’est-à-dire le collège de « sages » du Talmud) concernant Hanoucca indique qu’il s’agit d’une commémoration du « ravissement divin » à l’égard du peuple Juif, d’eux et de leur célébration vaniteuse.

La signification cachée d’Hanoucca est que « Dieu » est censé avoir fourni huit jours ininterrompu d’huile, non comme un moyen de faciliter une victoire, ni de garantir l’accomplissement d’un devoir sacré, mais plutôt comme un signe (halacha osah mitzvah), de Son adoration continuelle du peuple Juif, que nous sommes tous supposé imiter, tel que nous le faisons en réalité, lorsque nous permettons à une menorah d’être érigée là une scène de la nativité est bannie.



Hanoucca est l’arme principale du Talmudisme, après « l’Holocauste », pour injecter la religion du Talmud au sein de la vie civile de notre nation au cours du mois de décembre, en une période où la Chrétienté et ses symboles, tels que les crèches, sont de plus en plus marginalisés ou complètement bannis de l’espace public, en faveur de l’illumination des menorah, le père noël, et le bruit des caisses enregistreuses et des machines à carte de crédit. Plus sont abaissés Jésus, Marie et Joseph au cours de cette période de Noël, plus la menorah et l’autocongratulation Judaïque qu’elle représente, sont portés au pinacle.

Dans la religion du Judaïsme, la menorah d’Hanoucca est le symbole de la position suprême prétendument occupé par le peuple Talmudique aux yeux de Dieu.

La menorah d’Hanoucca n’est pas un symbole biblique. Hanoucca est une tradition Talmudique créée par l’homme pour son autocélébration idolâtre. Elle ne représente pas la victoire des Maccabées sur les païens, mais la mémoire sélective des rabbins à l’égard de l’histoire.

Hanoucca est la perpétuation de la vanité raciale et religieuse ténébreuse des rabbins Juifs sionistes, déguisée en congé lumineux pour tous, et en tant que telle, n’est rien d’autre qu’une sorte de résumé et de somme de l’étrange dieu d’autoadoration qui est l’idole centrale des sectateurs du Judaïsme Orthodoxe et de la violation centrale du Premier Commandement de l’Exode 20:3 לא יהיה־לך אלהים אחרים על־פני.

NOËL
Noël est une période problématique pour les rabbins Orthodoxes et leurs adeptes, car elle célèbre la naissance du Jésus qu’ils haïssent. Le terme rabbinique pour la veillée de Noël est Nittel Nacht, une nuit qu’ils considèrent comme maudite.

Il existe une tradition rabbinique de s’abstenir de relations conjugales lors de Nittel Nacht. D’après Baal Shem Tov, le fondateur du Judaïsme Hassidique, concevoir un enfant lors de Nittel Nacht résultera en la naissance d’un apostat ou d’un proxénète.

La coutume rabbinique la plus répandue lors de la veille de Noël est de s’abstenir de l’étude de la « Torah » (Talmud). Il y existe un risque que l’étude du Talmud puisse involontairement servir l’âme de Jésus, en accord avec un enseignement selon lequel l’étude du Talmud accorde le repos de l’âme de tous les méchants.



S’abstenir d’étudier le Talmud lors de Nittel Nacht sers aussi à célébrer une sorte de deuil, en rapport avec la croyance rabbinique que Jésus était « un faux Messie qui a trompé Israël, vénéré une brique, pratiquait la magie qu’il avait apprise en Egypte et fut conçu par une prostitué en période de niddah (menstruation). »

Il existe une coutume Talmudique de manger de l’ail lors de Nittel Nacht. La raison en est que l’odeur de l’ail est censée repoussé l’âme démoniaque de Jésus, qui ère la veille de Noël comme celle du partenaire mort de Scroodge, Marley (cf. le texte rabbinique de Nitei Gavriel Minhagei Nittel). Une autre coutume rabbinique répandue du Judaïsme Orthodoxe est de fabriquer du papier toilette la veille de Noël, une pratique populaire parmi les Juifs Hassidiques du Chiddushei Harim. (cf. Reiach Hasade 1:17)

Comparez ces moqueries grotesques de Nittel Nacht avec l’histoire merveilleuse de la Sainte Famille à Bethlehem – la Vierge radieuse et son enfant, d’humbles berges, et des anges annonçant la bonne nouvelle de la paix sur terre pour les hommes de bonne volonté. Franchement, il n’y a pas de comparaison entre le Judaïsme Talmudique et le Christianisme véritable, et ceux qui tentent d’affirmer que la Chrétienté puisse partager des similarités œcuméniques avec la religion du Talmud, sont encore plus égarés que les pratiquants avilis des rites de Nittel Nacht.


En 2014, Nittel Nacht n’est pas célébré parce que le 24 décembre tombe la dernière nuit d’Hanoucca. Ainsi, Hanoucca sera célébré à la place des habituels blasphèmes de Nittel Nacht.

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