Interview de Poutine à l'agence d'information russe TASS


 Le sommet du G20 entame ses travaux samedi à Brisbane. A la veille de son départ pour l'Australie, Vladimir Poutine a accordé une interview à l'agence TASS.



Question : Vous allez à un nouveau sommet du G20. Combien demandé et actuel est le formamt du G20 ? Est-il logique que les pays du G20, tout en cherchant à coopérer et à développer l'économie mondiale, imposent des sanctions à l'un de leurs membres ?

Vladimir Poutine : Le format, est-il demandé ou non ? Je pense qu'il est demandé. Pourquoi ? Parce que le G20 est un forum qui permet de se rencontrer, de discuter aussi bien des relations bilatérales que de problèmes globaux, un forum où l'on peut mettre au point une prise de position commune sur un problème et la façon de le résoudre, indiquer la voie du travail commun. C'est là l'essentiel, parce qu'il est absolument irréel de croire que tout dont on y parle sera exécuté, car les décisions mêmes ne sont pas contraignantes. En plus elles ne sont pas exécutées en partie. Elles ne sont pas exécutées là où cela est manifestement contraire aux intérêts de certains pays, notamment aux intérêts des acteurs mondiaux. Ainsi un sommet du G20 a adopté la décision sur le renforcement du rôle des économies en développement dans l'activité du FMI et sur la redistribution des quotas. Le Congrès des Etats-Unis a bloqué cette décision. Nos partenaires des négociations nous disent qu'ils voudraient bien que la décision adoptée soit appliquée, mais le Congrès l'interdit. En voilà la valeur des décisions du G20.
Néanmoins le fait que la décision ait été formulée et que tous les participants à la vie internationale dans le cadre du G20 l'aient trouvée correcte, juste et conforme aux réalités modèle d'une certaine façon l'opinion publique internationale et la mentalité des experts et oblige à en tenir compte. Le fait que le Congrès des Etats-Unis ait rejeté cette loi indique que ce sont les Etats-Unis qui ne s'inscrivent pas dans le contexte général de la solution des problèmes auxquels est confrontée la communauté mondiale. Hélas, personne ne s'en souvient. On fait taire cette information bénéficiant du monopole des médias mondiaux, comme s'il n'existait pas.
Tous parlent des problèmes d'actualité, les sanctions et la Russie comprises, mais sur le plan global les Etats-Unis n'exécutent pas les décisions. C'est un problème fondamental.
Mais cela ne veut pas dire que le format est inutile. J'ai déjà dit pourquoi. Il est d'une certaine utilité.

Question : Peut-être faut-il rendre ces décisions exécutoires ?

Vladimir Poutine : C'est impossible. Il n'y a pas de tels exemples dans la pratique internationale. Sauf les décisions du Conseil de sécurité dans le domaine de la sécurité internationale. Mais ce mécanisme a été élaboré dans les conditions difficiles d'une guerre meurtrière, de la Seconde guerre mondiale. Il est tout à fait irréel d'imaginer à l'heure actuelle la mise au point de nouveaux mécanismes garantissant l'exécution des décisions, d'autant plus dans le domaine économique. Mais je tiens à répéter que de toute façon cela revêt un caractère politico-économique moral, ce qui est déjà bon.
En ce qui concerne les sanctions imposées à la Russie par quelques-uns des pays du G20, c'est, certes, contraire au principe même de l'activité du G20. Plus encore, c'est contraire non seulement à l'activité du G20 et à ses principes, mais aussi au droit international, parce que les sanctions peuvent être introduites dans le cadre des Nations Unies et de leur Conseil de sécurité. C'est même contraire aux principes de l'OMC et de l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce, le GATT. A l'époque les Etats-Unis ont créé cette organisation et à présent ils violent grossièrement ces principes. Il va de soi que cela nous cause un certain préjudice, mais c'est aussi préjudiciable pour eux parce qu'au fond cela sape l'ensemble du système des relations économiques internationales. Je pars du fait qu'en fin de compte cela sera compris et cela restera dans le passé. Je l'espère bien.

Question : Avez-vous l'intention de soulever cette question pendant le sommet ? S'il en est question, qu'en direz-vous ?

Vladimir Poutine : S'il en est question, j'en parlerai certes. Mais moi-même je n'ai pas l'intention d'évoquer ces questions : je pense que c'est inutile. Tous comprennent ce qu'ils font, ceux qui introduisent ces sanctions le comprennent aussi. A quoi bon y prêter attention et demander quelque chose ? C'est inutile. Chez eux, les décisions de ce genre sont adoptés au niveau de bloc, au niveau national, en fonction de l'interprétation par nos partenaires de leurs intérêts géopolitiques. Je pense que c'est une erreur, même du point de vue de leurs intérêts géopolitiques.
A notre regret, le monde moderne vit dans le contexte d'une planification à très court terme, surtout dans le domaine de la politique et de la sécurité. La planification se fait pour une période entre deux élections. C'est très court et cela ne permet pas de voir une perspective lointaine. Cela ne va pas. J'espère que nous en parleront. Tout récemment, pendant le sommet de l'APCE nous avons débattu pratiquement avec tous les participants de tous les problèmes internationaux et bilatéraux, tout comme des sanctions que vous venez d'évoquer.

Question : A l'heure actuelle il y a un certain équilibre des forces au sein du G20 : d'une part le G7 et, de l'autre, les BRICS et certains autres Etats qui s'y sont joints. Vous venez de dire que chacun fait valoir ses propres intérêts. Dans cette optique quelle est votre idée de cet équilibre des forces : est-ce une discussion qui fait naître la vérité ou un face-à-face entre deux blocs ?

Vladimir Poutine : D'abord, je trouve que ce serait mal de recommencer à créer des blocs. Ce n'est pas constructif, c'est nuisible pour l'économie mondiale. Nous parlons à présent de l'économie, n'est-ce pas ?

Question : De l'économie dans laquelle la politique s'ingère toujours davantage.

Vladimir Poutine : C'est vrai. Quand même le G20 est en tout premier lieu un forum économique. Je propose de déplacer le centre de gravité de notre entretien dans ce domaine. Je voudrais attirer l'attention sur le problème suivant. J'ai déjà évoqué l'OMC qui avait formulé des règles du jeu. Un mécanisme comme le FMI a été créé. Des débats sont menés sur le perfectionnement des mécanismes financiers internationaux et sur le perfectionnement des rapports commerciaux. Vous savez que le cycle de Doha de négociations sous l’égide de l’OMC se trouve pratiquement dans une impasse. Pourquoi ? En raison de la différence d'approche et de la différence d’intérêts entre les économies émergentes et les économies développées. Nous voyons apparaître un déséquilibre dans le domaine des capitaux, d’une part, et un déséquilibre dans la circulation des marchandises, d’autre part. Les économies développées disposent de quantités assez importantes de capitaux libres et le problème est de placer ces capitaux de manière efficace, fiable et sûre dans les économies et régions du monde qui garantiront la stabilité, protègeront la propriété et génèreront des bénéfices en apportant des recettes aux économies développées. Ainsi, ils exportent des capitaux, alors que les pays émergents forment les flux commerciaux. Les uns veulent être sûrs que leurs capitaux seront placés avec fiabilité. Les autres, les receveurs de ces capitaux, veulent être sûrs que les règles du jeu ne changeront pas selon la volonté de ceux qui exportent leurs capitaux, notamment pour des raisons politiques.
Tout le monde doit comprendre que l’économie mondiale et le secteur des finances sont en dépendance exclusive l’un vis-à-vis de l’autre. Prenons notre cas. Admettons que nos partenaires ont limité l'accès des marchés financiers internationaux à nos institutions financières. En bénéficiant des capitaux provenant des marchés financiers internationaux, nos institutions financières financent nos sociétés qui achètent des produits finis dans les économies développées ce qui y garantit l'emploi, les prestations sociales et la croissance économique. Si nous ne le faisons pas, il y aura des perturbations. Ce sont des choses sous-jacentes, on ne les voit peut-être pas à la surface.
Notre travail conjoint garantit à l'Allemagne 300 000 emplois. Ce sera fini s'il n'y a pas de commandes. Ils se réorienteront évidemment sur quelque chose, mais il faut d'abord comprendre sur quoi, ce qui n'est pas si facile.
C'est pourquoi il faut affronter tous les problèmes et toutes les difficultés, qui sont d'ailleurs nombreuses, en commun. Si nous empruntons une autre voie... Prenons les Etats-Unis. A l'heure actuelle ils parlent de la création de deux alliances : trans-atlantique et trans-pacifique. Si ce sont deux groupes fermés, cela conduira en fin de compte à l'aggravation des déséquilibres dans l'économie mondiale, au lieu de leur élimination. Nous voulons certes que ces déséquilibres n'existent pas, que nous travaillons ensemble. Et c'est seulement en commun que ces questions peuvent être réglées.
Il y a 20, 30 ou 50 ans la situation était différente. Pourquoi dis-je avec tant d'assurance que les problèmes ne peuvent être résolus efficacement qu'en commun ? En termes de capacité d'achat, le PIB cumulé des pays du BRICS est déjà supérieur à celui du G7 : il est, si je me souviens bien, de 37 400 milliards de dollars chez les BRICS contre 34500 milliards du G7. Si quelqu'un dit : « Nous allons tout faire séparément à notre guise et vous, vous faites comme cela vous plaise », cela ne fera qu'à accentuer les déséquilibres. Si nous voulons résoudre un problème, il faut le faire ensemble.

Question : A l'heure actuelle on parle de l'apparition d'un nouveau grand G7, à savoir les BRICS, l'Indonésie, la Turquie et le Mexique. Quel est, à votre avis, son avenir ?

Vladimir Poutine : J'ai déjà dit : i l faut décider ensemble. Parce que tout est interdépendant dans le monde moderne et si l’on décide de créer une structure régionale – comme nous créons la structure régionale, l'Union économique eurasienne, avec la Biélorussie et le Kazakhstan –, c’est uniquement en complément des instruments globaux existants qui doivent fonctionner selon ces règles globales.
Question : Vous avez parlé des déséquilibres dans l'économie mondiale. Le FMI en parle aussi : il prévoit l'apparition possible de nouvelles « bulles de savon ». L'économie russe est-elle prête à affronter une nouvelle vague de crise ?

Vladimir Poutine : Elle y est prête. Nous réfléchissons à tous les scénarios, une baisse catastrophique des prix des vecteurs d'énergie compris. Cela est tout à fait possible et nous l'admettons. Les ministères de l'Economie et des Finances, le gouvernement dans son ensemble, font des calculs concernant l'évolution de l'économie d'après chacun de ces scénarios.
Voyons les déséquilibres entre le capital et les marchandises, dont j'ai parlé. Quand ils apparaissent, notamment pour des raisons politiques, quand ils s'aggravent, les pays, émergeants surtout, se retrouvent dans une situation très difficile. C'est plus facile pour un pays comme le nôtre. Pourquoi ? Nous sommes un pays pétrogazier, nous ménageons nous réserves : aussi bien les réserves de change que les réserves du gouvernement. Elles sont suffisamment importantes ce qui nous permet d'être sûrs de pouvoir honorer tous nos engagements sociaux et de ne pas franchir certaines limites dans les processus budgétaires et dans l'économie dans son ensemble. Les pays qui n'en disposent pas auront du mal à y faire face. Mais je tiens à répéter que j'espère que nous aurons un débat général et que nous adopterons une décision commune sur le changement de la situation et l'élimination des déséquilibres en question.

Question : Vous venez de mentionner les réserves budgétaires, qui ont permis de surmonter la crise de 2008-2009. Aujourd'hui, ne pensez-vous pas qu'il soit à nouveau temps de débloquer ces fonds pour relancer l'économie?

Poutine : Non. En fait, nous étions déjà prêts à les débloquer avant tous les phénomènes négatifs actuels comme les fluctuations du rouble ou la chute du cours du pétrole - nous évoquions l'éventualité d'utiliser l'argent du Fonds du bien-être national. On en parle depuis longtemps. Le sujet a été soulevé il y a deux ans déjà. Dans des situations comme celle de l'économie mondiale aujourd'hui, et de la nôtre aussi, cela se passe toujours de la manière suivante: si les fonds sont dépensés, c'est fait sur plusieurs axes. L'un d'eux est le développement de l'infrastructure. C'est à cet effet qu'on comptait dépenser l'argent du Fonds du bien-être national: il est question d'un périphérique supplémentaire autour de Moscou, du rejointoiement des passages à niveau, de la construction et de l'extension de la circulation des marchandises vers l'Est - je veux parler du Transsibérien et de la BAM (Magistrale Baïkal-Amour) -, du TGV, du développement de l'infrastructure des ports et des aéroports. Tout cela figurait déjà dans nos plans antérieurs et dans la conjoncture actuelle, qui se détériore, c'est précisément ce que nous allons faire. Mais cela ne signifie certainement pas que nous devons gaspiller inconsidérément ces réserves pour régler les affaires courantes, sans attendre un retour économique approprié. Nous ne le ferons pas.

Question : On parle bien de réformes structurelles pour lesquelles on manque toujours d'argent et de temps.

Poutine : Les réformes structurelles ne demandent pas tant d'argent que ça. Elles nécessitent simplement une volonté politique et certaines décisions administratives, cela concerne aussi bien l'économie que les prestations sociales.

Question : Avant de revenir à l'infrastructure, je voudrais terminer avec le Fonds du bien-être national: que pensez-vous de la demande formulée par Rosneft de lui allouer de l'argent du fonds?

Poutine : Je dirais aux responsables de Rosneft que moi aussi, je demanderais de l'argent. Qui ne le fait pas? Tout le monde tente sa chance et espère en obtenir. L'exécutif – je le sais, nous avons parlé à ce sujet avec le gouvernement et la direction de Rosneft – prendra des décisions uniquement en fonction des besoins de la compagnie qui nous est, bien évidemment, précieuse. Nous l'aiderons, bien sûr, mais en fonction de sa gestion, de ses intentions d'investir cet argent et du retour pour toute l'économie nationale en cas d'investissement. Ce sera une estimation réelle. Et je n'exclus pas que Rosneft puisse bénéficier de certaines ressources, mais il faut bien analyser combien, dans quels délais et à quelles conditions. Nous n'allons pas nous presser.

 Question : Comme aucune décision n'a été prise pour le moment, peut-on en déduire que le gouvernement n'est pas encore convaincu?

Poutine : Vous savez en ce moment, par exemple au cours de ma visite en Chine, Rosneft s'entend avec nos amis chinois pour qu'une grande compagnie chinoise obtienne 10% des actifs du champ de Vankor. Sachant que les Chinois y obtiendront des sièges au conseil d'administration. Mais on s'entend également pour que le commerce du pétrole exploité à cet endroit - et les réserves sont importantes - soit effectué en yuans. Dans ces conditions, nos partenaires chinois seront prêts à créditer et financer certaines transactions. Deuxièmement, nous échappons au diktat du marché qui libelle tous les flux commerciaux pétroliers en dollars, et nous étendons nos capacités d'utilisation des monnaies nationales, le rouble et le yuan. Troisièmement, cela stabilise davantage la situation financière de la compagnie.
Nous avons récemment vérifié l'état financier de Rosneft: il n'y a tout simplement aucun problème. Je le répète: s'ils ont besoin de fonds supplémentaires, ils doivent prouver qu'en obtenant cet argent ils viseront des objectifs concrets et devront montrer quel sera le retour non seulement pour la compagnie, mais également pour toute l'économie russe.

Question : L'une des propositions de la présidence australienne du G20 concerne la création d'un centre d'investissements dans l'infrastructure. Est-ce un point positif pour la Russie, qui a déjà fait des projets d'infrastructure une priorité? Ou aucune concertation avec notre travail ne sera engagée à cause des sanctions qui frappent la Russie?

Poutine : Il n'y a rien à discuter ni à convenir avec qui que ce soit. Cela montre tout simplement, et il est difficile de contredire la présidence australienne là-dessus, que nous sommes sur la bonne voie, que nous agissons absolument dans ce qu'on appelle le mainstream; que la communauté internationale, économique en l'occurrence, a la même position vis-à-vis des actes des gouvernements dans la situation actuelle de l'économie mondiale et confirme que nous avons raison. C'est toujours agréable et utile.

Question : Pour la Russie, le G20 sera-t-il davantage une aide ou une simple tribune pour partager sa propre expérience?

Poutine : Je pense qu'il s'agit plutôt d'une tribune pour échanger son expérience. Et pour préparer les cadres, ce qui est une bonne chose. Tout le reste est la continuation, dans une certaine mesure, de nos propositions formulées au G20 de Saint-Pétersbourg.

Question : Certains projets d'infrastructure que vous avez énumérés pour la Russie se réalisent, d'autres sont reportés comme le pont sur la Lena à Iakoutsk ou le port de Taman. Ces projets ont-ils un avenir, est-il prévisible ou encore flou?

Poutine : C'est moins une question de visibilité que d'utilité, vous savez. Faut-il construire un pont à Iakoutsk? Oui. Iakoutsk compte 300 000 habitants. Bien sûr, on voudrait que ces gens aient un pont pour se déplacer tranquillement. Et la voie ferrée arrivera directement dans la ville.
Le voudrait-on? Bien sûr. Personnellement, j'aime beaucoup la région de Iakoutie. Les gens sont merveilleux. Et la république est très riche en ressources. Il faut la développer. Mais quand on en parle avec les collègues, ils disent: il ne s'agit pas seulement d'une ville de 300 000 habitants, le pont est nécessaire pour construire une route jusqu'à certains gisements, pour rendre ce projet non seulement social, ce qui est important, mais aussi économiquement justifié et utile. Et ensuite l'avancer pour approvisionner les régions du nord et atteindre certains gisements. Tout cela doit être calculé. C'est uniquement une question d'étude professionnelle approfondie. Et dans l'ensemble, c'est la bonne direction.
Quant à Taman, c'est la même chose: il faut voir l'ensemble des problèmes liés à l'infrastructure portuaire, y compris les investissements privés. Un port moderne y est en cours de construction depuis quelques années par une compagnie privée avec une participation étrangère. Et le partenaire étranger y investit des milliards. Nous devons suivre attentivement ce projet. Allons-nous créer une concurrence? Quels sont les quantités de fret? Est-ce que ces quantités suffisent aujourd'hui pour remplir les deux ports? L'infrastructure ferroviaire sera-t-elle suffisante pour les desservir? Et où est aujourd'hui, à ce moment précis, l'argent pour développer cette infrastructure de manière à desservir les deux sites (sachant que nous devons encore construire un pont en Crimée)? Ce n'est pas faute de volonté. Simplement, tout doit être évalué intelligemment, de manière cohérente et très professionnelle.

Question : Pour revenir au G20. Les sommets, que ce soit le G20, l'APEC ou auparavant le G8, étaient également pour vous l'opportunité de communiquer avec vos collègues en tête-à-tête. Et le sommet qui vient de se dérouler à Pékin était votre premier voyage à l'étranger depuis l'allocution au club Valdaï, un grand discours sur la sécurité globale et l'ordre mondial. Les partenaires occidentaux ont-ils réagi à votre intervention?

Poutine : Non, le club Valdaï est une discussion avec des experts, c'est une sorte de libre débat. Comme cela doit toujours être le cas dans les tribunes de ce genre, la discussion doit être assez active pour donner le ton du débat, voire provoquer les interlocuteurs pour qu'ils s'ouvrent, montrent leur point de vue, cherchent ensemble une solution aux problèmes au niveau d'experts. Quand nous nous réunissons avec les collègues, on évoque davantage les questions pragmatiques.

Question : Autrement dit, vous n'avez pas noté de changement dans leur position?

Poutine : Non, rien n'arrive si vite. Si quelqu'un a voulu entendre ce que je disais, il faut de toute façon un certain temps pour que tout cela soit analysé par les organismes administratifs, gouvernementaux et présidentiels. En parler d'abord au niveau des conseillers et des experts, puis organiser des discussions sans les bruits et sifflements artistiques qui accompagnent généralement les espaces comme Valdaï, mais discuter dans le calme des bureaux avec franchise.
Ces espaces de discussions sont bénéfiques parce qu'on peut parler franchement. Et ensuite, à un autre niveau, comme je l'ai déjà dit, il faut revenir à ces sujets pour en parler tranquillement à huis clos. Cela demande du temps.

Question : Comptez-vous vous entretenir, au sommet du G20, avec quelqu'un en particulier?

Poutine : Oui, nous avons des entretiens prévus avec la chancelière allemande et bien d'autres réunions.

Question : Les observateurs constatent que vos relations avec Angela Merkel sont devenues plus tendues et moins conviviales ces derniers temps. L'avez-vous remarqué?

Poutine : Non, je ne l'ai pas remarqué. Vous savez, nous sommes guidés par les intérêts, et non par des sympathies ou des antipathies personnelles.

Question : Avant, étiez-vous toujours guidé par ces mêmes intérêts?


Poutine : Pas avant, toujours. Et elle est également guidée par les intérêts de son propre pays. Comme tout autre chef d’État ou de gouvernement. Par conséquent, je ne vois aucun changement significatif dans la nature de nos relations.

Commentaires

  1. Anonyme17.11.14

    j'ai envoyé un mail à" la voix de la russie" sur le pourquoi des chemtrails en Russie et sa dangerosité et également pourquoi la Russie, qui depuis 60 ans a participé au programme spacial secret avec les USA sur l'existence des visiteurs et sur l'échange de technologie, télégravitation, etc., et sur les possibilités pour tous les peuples du monde, de pouvoir accéder à l'électricité à énergie libre gratuite, au chauffage gratuit et à la dépollution entière de notre planète et de ne plus utiliser les énergies fossiles, pourquoi aujourd'hui il y a un refus total de la part de la Russie et des USA de divulguer (même si on comprend pourquoi, merci POUTINE, OBAMA !)
    NIET pour l'instant, pas de réponse. La Voix de la Russie, encore un journal qui leurre les peuples, pour tous ceux qui sont en extase

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    1. Anonyme18.11.14

      http://www.agoravox.tv/actualites/international/article/lorsque-vladimir-poutine-denonce-47648

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  2. Anonyme19.11.14

    OUI bien entendu, il dénonce, parceque cela a été dénoncé avant, donc faut jouer le jeu ;
    OK, avec anonyme du dessus, ce qui se passe , c'est un conflit d'oligarques, TOI, le petit, qui n'a rien, pas de cartes de club fermée aux grands esprits de ce monde, pas de grande fortune, à tes pieds, des chateaux a travers le monde , tu n'es rien pour ces gens, ils se servent de toi, pour s'affirmer et te laver le cerveau.
    OK aussi avec les journaleux, "voix de la russie" qui débite en permanence les bonnes actions, de ce pays, c'est notre salut choisir entre la peste et le choléra ! des infos de sites alternatifs , style Berruyer , qui pas un jour ne se passe sans evoquer ce pays .

    Mais toi le petit qui crève , par ces oligarques mafieux, que sais tu de ce pays ? j'aurai bien posé une question a poutine, sur ses copinages avec des sataniques , Douguine , Devillepin, DSk, TOUS FRANCS MACONS de haut grade,
    Biene, pour ceux qui croient au pére noel, faut arrêter ! et tous les sites qui mettent sur un piedestal cette homme qu'il ne connaisse pas ,
    l'energie libre existe, mais renseignez vous , c'est dans leur carton, pour en faire un monopole entre riches de ce monde ; TOI le petit, tu devras trimer car tu n'existes pas pour eux , si t'as pas les conditions requises ... seuls les francmaçons , font de la prêche pour lui, Tiens le dernier , francmaçon est chevènnement , un client du "siècle" qui revient , nous parler de la russie comme du sauveur ,
    Quand aux tireurs de ficelle, ROTSCHILD , et ses amis, ils se foutent de ces bagarres internes, pourvu qu'on leur donne le pognon ,
    TOUT va vers la mondialisation,
    La guerre aura lieu , c'est un fait certain , c'est dans les cartons, alors ceux qui font la prêche, seront bien déçu , car ils ne sont certainnement pas au programme ! tous les inutiles , rayer du monde, voilà leur programme.

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    1. Anonyme19.11.14

      ah un grand merci, anonyme 19/11, la grosse masse gélatineuse des peuples ne veut pas en finir avec l'esclavage, enfin, ce sera sans nous et nous sommes nombreux

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  3. Anonyme19.11.14

    "OUI bien entendu, il dénonce, parceque cela a été dénoncé avant, donc faut jouer le jeu ;""

    C'est ton avis c'est bien de nous en faire part mais je n'y croit pas .
    Poutine n'apportera pas le changement pour les citoyens car c'est aux citoyens de changer leurs constitution mais Poutine au moins est un obstacle pour les USA et Rothschild avec leurs plan diabolique , c'est un fait et ça c'est intéressant c'est cela qu'il faut voir et grâce à ça cela retarde le plan final du nouveau ordre mondial .

    Concernant la guerre mondiale elle a été éviter grâce à la Russie, elle n'aura pas lieu . Nous pourrons penché vers ta supposition que s'il elle a lieu .
    Concernant le franc maçon chevènnement même s'il parle en bien de la Russie on remarque qu'il a fait de même pour que la France n'aille pas en Iraq ( au temps de Sadam ) et pourtant il avait raison ( il peut être franc maçon et dire des vérités ) .
    Quand aux copinages sataniques ( Douguine , Devillepin, DSk, TOUS FRANCS MACONS de haut grade ) cela ne veut pas dire que quand il y a discution avec eux qu'il est un partisan satanique ( que savons nous si ce n'est pas pour tenter de séduire Poutine ) , les faits et qu'il ne suit pas la marche des franc maçons des Rothschild , il a certes peut être un autre plan mais ce n'est pas celui des USA ni de Israël et il fait obstacle , pour ma part je considère que c'est bien que le NOM soit ralentie et sinon nous serions déjà en guerre mondiale et toi et moi on mangerais des châtaignes pour survivre ou souffrir de la radioactivité .

    Au lien de regarder Obama ou Abe qui font la planche à billet ( qui est un crime pour l'humanité avec les conséquences qu'on subit ) non on veut condamner un homme politique Poutine qui ne fait pas de planche à billet pour éviter d’endetter son pays et ses citoyens , mais aujourd'hui c'est la matrice du NOM inverser les valeurs et condamné ceux qui font obstacle au NOM mais toutes ses idées cela ne marche pas avec nous .

    Quand à l'energie libre qui est formidable nous l'aurons que quand les financiers comme Rockfeller ou Rothschild seront en prison car ils détiennent la clé ( les politiciens ne peuvent rien et encore moins les médias ) .

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  4. Anonyme19.11.14

    POUTINE est un voyou comme les autres, à part proposer le commerce de nanoparticules , l'industrie chimique et tout le reste, il ne nous intéresse pas, nous ferons sans lui et sans les autres, je n'ai jamais été esclave, je n'ai jamais voulu rentrer dans le système, ce n'est pas demain que cela va commencer, chacun fera ce qu'il veut, les hommes connaissent maintenant la vérité sur tout ce foutoir, à nous d'agir différemment et d'agir en conséquence, libres à vous de rerentrer dans une autre matrice que ce soit avec Pierre, Paul ou Jacques.

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  5. Anonyme19.11.14

    Voyou ou pas il fait obstacle au nouvel ordre mondial et moi je vais boire une tasse de thé pour glorifiez cela et il n'y aura pas de 3 guerre mondiale comme tu nous le dit , les paris sont ouvert .

    "Citations du blog de Jovanovic : du 17 au 21 novembre 2014 : Vladimir Poutine et son homologue chinois sont les seuls à résister à la planche à billets des Américains. Raison pour laquelle il est présenté comme le grand méchant par toute la presse occidentale."

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    1. Anonyme20.11.14

      TOI qui en sait beaucoup, d'ou tiens tu de telles affirmations ? faut arrêter de prendre les français pour des ignares, se mettre sous une autre tutelle, de la russie , seul , ceux qui ont des intérêts de ce côrté , souhaite ça, voir les lucifériens, qui ont un vaste programme, pour rééduquer, le petit peuple pour en faire un homme dieu, d'ailleurs on les paie déjà pour la propagande propoutine, et ils sont reconnaissables sur le net .
      Jovanovic, est un sioniste, luciférien, apatride , son truc , c'est le pognon .
      Tout comme rotchild et les banquiers, les guerres intestinales ne les interressent pas , c'est le pognon, alors payer poutine ou obama ou hollande, ils s'en tapent , leur but c'est de râcler ....
      plus haut, on lit qu'on s'en prend a poutine, non, les français, veulent une france souveraine, et LIBRE , seuls les mondialistes lucifériens souhaitent se coller avec la russie , quand on voit des francs maçons , alliés, qui retourne déjà leur veste, pour préserver leur privilèges, le français, a de quoi flipper et comment faire confiance a tous ces franc mac, qui ont ruiné la france , ils cherhent leur sauveur sachant que ca part en vrille pour eux en france .
      un francmac, dira du bien que si ca sert ses intérêts, SATAN veut le bien de qui ? ces gens sont ses serviteurs CQFD

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    2. Anonyme23.11.14

      merci anonyme 20/11, le coup de la 3ème guerre mondiale que POUTINE ne veut pas c'est une magouille entre eux,, si cet homme était honnête, il y a longtemps qu'il serait mort, comme tous ceux qui veulent être proches de leur peuple, cela n'existe pas, voir Hugo CHAVEZ, les gens sont d'une naïveté, il faut acquérir du bon sens et de l'intuition, il faut maintenant préparer une autre vie et ne plus dépendre de politiques et d'une autre matrice, boulot, métro, dodo, se sortir du matériel, former des communautés de personnes sur des projets précis et sortir des pays industrialisés, mais cela il fallait et il faut l'anticiper, ce n'arrive pas du jour au lendemain. Il y aura toujours malheureusement une masse gélatineuse de moutons qui attendent que tout tombe seul et attendent toujours un patron ou un maître au-dessus d'eux, c'est cela le problème pour eux, ils sont conditionnés depuis des décennies et ne sont pas prés d'évoluer

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    3. Anonyme23.11.14

      merci anonyme 20/11, le coup de la 3ème guerre mondiale que POUTINE ne veut pas c'est une magouille entre eux,, si cet homme était honnête, il y a longtemps qu'il serait mort, comme tous ceux qui veulent être proches de leur peuple, cela n'existe pas, voir Hugo CHAVEZ, les gens sont d'une naïveté, il faut acquérir du bon sens et de l'intuition, il faut maintenant préparer une autre vie et ne plus dépendre de politiques et d'une autre matrice, boulot, métro, dodo, se sortir du matériel, former des communautés de personnes sur des projets précis et sortir des pays industrialisés, mais cela il fallait et il faut l'anticiper, ce n'arrive pas du jour au lendemain. Il y aura toujours malheureusement une masse gélatineuse de moutons qui attendent que tout tombe seul et attendent toujours un patron ou un maître au-dessus d'eux, c'est cela le problème pour eux, ils sont conditionnés depuis des décennies et ne sont pas prés d'évoluer

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    4. Anonyme27.11.14

      POUTINE ne fait pas obstacle au Nouvel Ordre Mondial, c'est un jeu entre voyous, il faut vraiment que les moutons soient sans bon sens, sans intuition, faites marcher votre cerveau

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    5. Anonyme14.12.14

      POUTINE ne veut du nouvel ordre mondial US, mais il veut imposer SON Nouvel Ordre Mondial, différent mais bien une autre matrice, et malheureusement beaucoup d'esclaves vont le suivre, enfin pas tous , alors les moutons rassurez-vous, vous aurez allez 300 euros par mois pas un sou de plus, car vous ne méritez rien de plus

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  6. Anonyme20.11.14

    La 3 guerre mondiale devait avoir lieu avec la Syrie puis avec L'Ukraine mais cela a échouer , cela ne veut pas dire qu'elle ne peut venir mais les Russes et les Chinois résistent au nouvelle ordre mondial . Maintenant comme je te les expliquer s'il n'y avait pas cette résistance nous serions en 100 % dans le nouvelle ordre mondial, le dollar doit s'écrouler .
    Cela ne veut pas dire que je compte me mettre sous tutelle avec la Russie ou la Chine ou que je compte sur eux , je n'est pas dit cela ou peut être la tu mal interpréter . Il faut que le peuple fassent sa constitution , je suis d'accord avec toi et la France doit être libre .

    Pour Jovanovic il y a à boire et à manger , je n'aime pas sa théorie de St Jean ( L’apocalypse ) car pour moi ce livre n'est pas religieux et ne peut rien prédire . Mais pour les infos qu'il donne concernant les banques elles sont fiable et un des rares à les donner . Pour la Russie et la Chine il est clair que ce sont les seuls qui résistent au dollar dire le contraire c'est mentir .

    Pour Rothschild et autres grands banquiers je ne partage pas tout à fait ton avis , ils ont assez d'argent ils ont besoin d'autres choses pour satisfaire leurs ego , posséder tout les terres , le pétrole , les pays , puis ensuite coloniser l'espace cela est sans fin... bref pour être le plus grand du monde ( dans l'histoire nous en avons connu et ils sont tous pareil ) .

    Quand à ta remarque que les Rothschild s'en fiche de telle ou telle homme politique , je suis absolument d'accord et nous savons cela , ces banquiers dirigent les politiciens oui c'est vrai mais Rothschild ne dirige pas ou plus Poutine , c'est un fait .
    Je suis anti nouvel ordre mondial comme toi et je préfère que les Rothschild ont un obstacle dans leurs marche du NOM avec Poutine que le contraire après bien sur il faut gardé sa méfiance avec la Russie et la Chine y compris les dragons blancs .

    Je pense que la 3 guerre mondiale n'aura pas lieu et pour nous tous il vaut mieux que j'ai raison ;-)

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    1. Anonyme20.11.14

      les guerres, qui n'ont pas eu lieu : chez les occultistes, tout est planifié, si , ces guerres n'ont pas été déclanché , c'est que celà était calculé . Il fallait, maintenir les peuples dans la terreur, et chaque jour distiller un peu de venin, dans les esprits, " LA PEUR " ainsi chaque jour, on avance les pions de l'échiquier (Brzezinski) pour mainteneir la populace dans l'incertitude, d'une guerre imminente . Tiens je prends, pour exemple , la grenouille qu'on trempe dans l'eau toujours plus chaude, pour mieux faire passer la pilule . C 'est un bon moyen d'affaiblir, l'esprit critique .
      LOL pour Jova, qui donne les prédictions des banques, nous savons tous que c'est du virtuel et son livre 777, n'est qu'une manipulation de plus, faire arrêter les compteurs, à ce chiffre , quoi de plus facile pour les tireurs de ficelles, ensuite fallait un livre pour confirmer . pour ceux qui n'ont pas piger le miracle de "ST Jean "
      Tout est truqué , dans leur chiffre , inflation, dépression, baisse de l'or ou hausse , vas y que je monte ou descend les graphiques selon les coup de semonce que je veux donner pour nous pourrir la vie .
      Pour déclencher une guerre, il faut de sérieux motifs, et des opposants , faire exploser UN CHAMPIGNON, comme ça sans raison , c'est un génocide , trop flagrant, les occultistes , agissent toujours avec de bonnes excuses, pour expliquer leurs horreurs. ,
      Pour ces tarés, handicapés mentaux, la cruauté est un jeu d'échec, ils regardent leurs pions se bouffer entre eux et à un moment ils diront Stop , basta maintenant on attaque , et eux se marrent derrière leurs bureaux , en regardant , le film qui se déroule sur leur écran ; ils ne se salissent pas les mains , et ne vont pas en guerre ,ils poussent leurs pions . tout est calculé dans les moindres détails, avec leurs chiffres occultes ,
      La guerre ne se fera pas , mais elle se fait déjà contre l'humain, et depuis longtemps, Mais c'est pas suffisant, les inutiles sont trop nombreux, et les ressources naturelles mis a disposition de l'humanité sont cadenassé et deviennent de plus en plus rare , donc il faut une grande purge ... ensuite seulement ils pensent mettre l'énergie libre , en circuit avec une nouvelle donne , l'esclavage pour les restants .
      En fait , ce sera un début de guerre QUI PRENDRA VITE FIN ;
      En conclusion, Hitler était très sympathique avec de belles promesses , pour son peuple, pour prendre le pouvoir, ensuite il a révélé son vrai visage . TOUS CES OCCULTES sont des restants des nazis, avec de nouveaux arrivants, par la francmac, mais leur politique reste inchangée .

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  7. Anonyme23.11.14

    Marine Le Pen a ouvert un compte dans une banque russe, l'argent a toujours tout pourri, que fait la France qui continue à voter, à payer des impôts, à travailler pour nourrir le CRIF, la LICRA et tout le reste, qui a compris que depuis le 25/12/2012, tous les gouvernements ont été mis en forclusion, tous les Sociétés commerciales ont également mises en forclusion, tous les avoirs des banques ont été saisis. Mais toute la masse continue à faire comme si de rien n'était, les voyous sionistes ont raison d'essayer d'échafauder une autre matrice, que ce soit la BRICS, ou tartanpion mais chacun fait ce qu'il veut, on oblige personne, chacun a sa conscience, et son cerveau. Un seul mot, il faut virer toute cette m..... de politiques entièrement, vider cette terre du sol au plafond de tous ces psychopathes, çà c'est du concret

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