Mandala Matrix : Le NOM est une bataille pour l'energie humaine



 Beaucoup de gens s'imaginent que le NOM se résume à une dictature policière et que la bio-chip que l'on veut nous implanter de force n'est qu'un outil de surveillance parmi d'autres.
C'est oublier que d'un point de vue historique, ce fut le sorcier John Dee qui en posa les premières fondations au 16 ème siècle.

Beaucoup s'imaginent également que le bouddhisme est une religion qui veut le bien de l'homme et que le Dalaï Lama est un chic type. Le fait que les mondialistes en fassent la promotion ne les choque pas outre mesure.

Voici un témoignage qui a le mérite de nous éclairer sur les 2 sujets. C'est celui d'une bouddhiste pratiquante qui s'est vue proposé par son lama l’implantation d'une micro-chip. Ce serait selon elle un moyen parmi d’autres qui permettrait à des entités désincarnées de vampiriser notre énergie vitale en créant un portail permanent au niveau de notre corps.

Est ce que le véritable enjeu du NOM serait l'énergie humaine ?


Même si la nuit a été bien noire…par Flavie Duquesne (extrait)

Je pensais rencontrer un monde psychique et spirituel, antique, ancien et hiératique pendant ma retraite spirituelle. Il est en effet apparu au début, un peu comme un décor, une toile peinte : les yidams, les mandalas et les formules des mantras apparaissant un peu en trompe l'oeil comme aux avants scènes.

Puis c'est - derrière - un autre monde qui s'est invité, comme s'il était une réalité plus active et efficiente, se " servant " de ces images traditionnelles et figées du bouddhisme himalayen.

Ce monde, qui s’est avéré au final prédateur et exploitif, n'avait rien d'antique, de vieux ou de traditionnel.

Il m'est apparu comme ultra moderne selon nos critères, un monde de technologies sophistiquées venues de " mondes " parallèles aux nôtres. Il était doté de sciences appliquées psycho somatiques subtiles agissant "par osmose". Elles servaient en particulier à prélever nos énergies subtiles, les échantillonnant par qualités.

Ces activités subtiles étaient dotées de " feed back " (capacités de rétroaction), de coordination et d'auto contrôle cybernétique, etc.

Il m'a semblé que ce monde psychique du tantra bouddhiste n'est pas seulement peuplé de vieux "démons" ou de vieilles "dakinis" rouges, mais mu par des activités de technologies, inconcevables encore pour nous, qui prélèvent notre vitalité subtile, nos énergies de conscience et de vie de manière rationnelle et organisée. Ces activités ne nous renvoient des leurres yoguiques et des images tantriques toutes faites que pour mieux brouiller les pistes, comme pour mieux se cacher derrière.

Le monde tantrique serait habité par une réalité technologique subtile, une bio science exploitive venue d'autres mondes, d'autres dimensions imperceptibles de l'expérience consciente et collective, dont nous n'avons encore aucune idée.

Nous ne serions ainsi pas seulement le "bétail des dieux", comme l'écrit le voyageur tantrika Daniélou. Nous ne serions pas seulement le bétail humain trait pour le lait de notre vitalité et de nos énergies subtiles. Nous serions aujourd’hui dans une sorte d'élevage industriel imperceptible, dont les clôtures barbelées nous sont invisibles, reliés à des dimensions peuplées de collectivités inaccessibles. Leurs activités autonomes s'installeraient progressivement et perceptiblement dans les canaux et plexus subtils à l’intérieur du corps, en particulier lors de l'adhésion au tantra et de l'ouverture dévotionnelle.

Comme vous le voyez personne ne pourra y croire un seul instant, en-deçà de la faculté imaginative suscitée par l’évocation littéraire. Il est impossible de le prouver ou d'en apporter la moindre présomption de preuve.

De plus je ne suis pas sûr des limites, ni des enjeux réels de ces phénomènes s'ils existent, ni qu'ils soient strictement limités au monde tantrique.

En particulier l’éveil spontané de la kundalini s’apparente aussi à ces phénomènes en terme de symptômes perçus. Il est donc bien difficile chez un tantrika de différencier les activités subtiles qui ressortissent de l’ouverture à sa lignée de lamas, et ce qui est dû à l’activation autonome et universelle de la kundalini en lui.

Ceci étant dit, nous n'avons que 5 ou 6 sens, nous ne percevons que 3 ou 4 dimensions.

Si d'autres dimensions existent en plus, et en parallèle, d'autres sens nous seraient nécessaires pour percevoir ces bandes de fréquence de réalité qui sortent des capacités de notre "tuner" cognitif.

Si d'autres mondes conscients disposent de ces sens dans ces dimensions supplémentaires, ils nous perçoivent et peuvent nous rencontrer sans que la réciproque soit vraie, comme s'ils nous voyaient à travers un miroir sans tain, et que nous ne pouvions les voir.

Certains de ces mondes, de ces " êtres " conscients, ou de leurs collectivités nous sont sans doute familiers sans que nous puissions jamais connaître leur vrai visage.

Ceux-là sont sans doute amicaux, agissant comme de bienveillants jardiniers dans notre monde primitif d'hommes, nous gardant des obstacles invisibles ou de ces prédateurs.

Mais il ne serait pas impossible que dans le vaste cosmos, et surgies d'autres dimensions, des mondes moins généreux s'intéressent à notre force de vie, de conscience, à notre potentiel humain collectif et individuel, juste pour le prélever, comme nous le faisons ici pour du lait, du miel, du pétrole, du gaz ou du bioéthanol…

Un gisement à exploiter, en somme ? Et les mandalas du tantra ne seraient-ils alors que des " machines à traire ", les mantras : des " foreuses " et les yidams : des " entonnoirs " pour aspirer, échantillonner, réunir les flux ainsi prélevés, et prendre à notre monde humain, par osmose, le meilleur de lui-même, sans que nous n'en vissions rien ? C’est sans doute plus complexe, comme nous allons le voir maintenant. Il y a aussi une forme d’échange qui prend place dans ce processus, qui n’est donc pas à sens unique.


2ème écho) BioTech & psychoTech

Etonnamment j’avais en quelque sorte été informée de vive voix de cette possible réalité juste au commencement de ma retraite spirituelle.

Le lama, une femme, m’avait accompagnée. Elle m’avait permis de m’y préparer. Elle était d’habitude assez économe de ses mots. Et j’avais été très étonnée lorsqu’elle m’avait demandé, en substance, et juste avant le commencement de ma période contemplative :

- " Aimeriez-vous avoir un microprocesseur implanté sous la peau ? "

C’était, il faut le préciser, la période où on avait annoncé, je crois, aux informations que cette perspective était envisagée dans le futur pour diverses applications médicales ou sécuritaires.

Un peu interloquée de cette curiosité scientifique et technologique, très inattendue chez ce lama assez classique d’ordinaire dans ses thèmes d’enseignement public, j’avais marqué un imperceptible temps, à cause de l’étonnement.

Puis j’avais répondu spontanément et brièvement quelque chose comme :

- " Non, quelle horreur, çà me déplairait… "

Et le lama, avec un imperceptible sourire, de m’expliquer posément, et doucement, comme pour m’en convaincre, qu’elle pensait que ce serait très bien pour elle, voire pour d’autres, d’avoir un microprocesseur implanté sous la peau. Ce serait très pratique, etc.

Je me souviens très bien de cette conversation, car si la question m’avait interloquée, la réponse m’avait encore surprise davantage.

Tout l’essentiel avait été dit en quelques mots par la moniale. Et c’est donc pendant, et surtout après ma retraite, que j’ai repensé à ses propos. J’ai songé à ce qu’ils sous-entendaient probablement de la compréhension par le lama de l’emprise d’une sorte de biotechnologie subtile, miniaturisée, agissant depuis l’intérieur du corps et de ses canaux subtils. Le lama semblait savoir que ce n’était pas un monde ancien qui agissait pendant une telle retraite. C’était un monde inconnu certes, mais venant plutôt du futur biocybernétique que du passé mythologique…

Songeons que cette éventualité, même étonnante, n’est pas si absurde.

Qui aurait pu croire, il y a cent ans que l’Internet, le mobile 3G1/2, le WiFi, le WiMax, le système GPS, les puces RFID de localisation à fréquence radio, la télé multicanaux numérique, les écrans tactiles, les supercalculateurs électroniques, la chirurgie à distance assistée par satellite, les nettoyeurs à ultrasons, les nano pompes existeraient un jour, c'est-à-dire aujourd’hui ?

Alors est-il si farfelu d’imaginer que, dans d’autres dimensions, d’autres consciences que celles de nos frères et soeurs humains utilisent aussi des interfaces de communication et d’activité avancées, tout aussi facilement que nous utilisons déjà les webcams, la visiophonie ou les emails ?

Avec l’Internet nous pouvons ne jamais rencontrer nos correspondants, et n’avons que l’interface et l’outil numérique pour nous relier.

Pourtant nous communiquons. Nous nous voyons en images. Nous échangeons, parfois à des milliers de kilomètres de distance les uns des autres. Nous ne savons pas où habite tel correspondant Internet, ni parfois quel est son vrai nom, ni son vrai visage. Mais nous savons qu’il existe.

Est-il si extravagant d’imaginer que ce que nous appelions hier des divinités, des dieux, des entités spirituelles, des démons ou des asuras, pourraient être des collectivités et des consciences parallèles à notre univers physique, voire entremêlées (" intermeshed ") avec lui sur d’autres bandes de fréquence de la réalité ?

Elles seraient dotées de moyens de communication et d’activité subtiles, comme nous le sommes déjà des nouvelles technologies de l’information, de la communication et de la nanotechnologie.

La différence est que ces moyens seraient plus avancés, plus évolués. Ils agiraient aussi par des activités à distance dans notre vie psychosomatique, par exemple à la confluence de notre biologie et de notre psychologie, au niveau des souffles et des énergies subtiles. Ils nous resteraient imperceptibles en général, sauf par certains de leurs effets.

Nous ne rencontrerions jamais ou presque le visage réel de ces mondes et des consciences qui les habitent, faute de récepteurs sensoriels adaptés à leurs dimensions. Car la vue, le toucher, l’ouie, l’odorat, le goût sont inadaptés. Ce sont des sens incomplets, voire rudimentaires, et même la pensée est inadaptée, elle aussi, pour percevoir et comprendre ces dimensions.

Nous serions juste exposée à leurs activités à distance. Nous en recevrions dans le meilleur des cas quelques images adaptées à notre compréhension. Ces mondes déposeraient en nous et au cours de nos expériences spirituelles, des images, des compréhensions partielles, des allusions, des indices comme autant de contes pour enfants, afin que nous puissions grandir et commencer un peu à comprendre.

C’est en cela aussi qu’il y aurait échange entre ces mondes parallèles et nous. Si nous prêtons ou donnons sans le savoir le meilleur de nos énergies aux activités imperceptibles qui les prélèvent, nous recevons parfois comme des intuitions imaginatives que, depuis ces univers parallèles, des consciences bienveillantes déposent en nous par le jeu d’activités bio cybernétiques adaptées à notre situation et à notre constitution psychosomatique.

Mais cette compréhension a des limites, celles de nos sens et de notre entendement, limités par les notions de l’espace et du temps... Imaginez une fourmi qui se promène sur le clavier de notre ordinateur à la maison : difficile pour nous de faire comprendre à la petite fourmi ce qu’est un clavier AZERTY, ou à quoi sert une telle machine, n’est-ce pas ? Peut-être sommes-nous comme de petites fourmis, marchant sans le savoir sur des " claviers d’ordinateur " qui nous sont incompréhensibles …

Mais tout comme sur Internet on trouve le meilleur comme le pire - des meilleures recettes de cuisines aux plus abjects sites violents - il est plausible aussi que ces activités subtiles soient tout aussi contrastées, et leurs raisons d’être aussi.

Ces activités nous restent en général imperceptibles ou presque, et bien entendu leurs " ingénieurs " et leurs " usagers " depuis d’autres champs de réalité nous restent d’autant plus énigmatiques.

Alors si nous ne voyons rien, croyons-nous le plus souvent qu’il n’y a rien de caché derrière le voile de l’apparence matérielle. Et peut-être cela nous rassure-t-il et nous rend-il la vie plus simple.

La science fiction, même si je n'en suis pas amateur, de Matrix à Star Wars, a depuis longtemps l'intuition de ces phénomènes. Sont-ils ainsi, tels que les artistes et les réalisateurs nous les décrivent ? Sont-ils aussi au coeur du tantra bouddhiste ?

Et pouvons-nous aussi compter sur des mondes, des guides bienveillants, des pédagogues subtils, venus eux aussi d'autres dimensions contiguës à notre univers physique, pour nous éviter les pièges invisibles ?


3ème écho)  Et les shadoks pompaient…

Les lieux collectifs du tantra pourraient être des interfaces entre ces mondes humains et invisibles. Pour le meilleur comme pour le pire. Car des communautés du tantra pourraient aussi être de simples pièges dorés, colorées et parfumés.

Un joli rinpoché gigote et sourit sur son siège surélevé. Il est vêtu de brocards, de soieries. Mais il est lui-même prisonnier, et – depuis son enfance - l’otage aimable d’un de ces mondes invisibles moins aimables. Il est dans sa petite cage tout aussi invisible. Elle est installée bien au milieu du dispositif, comme le petit poisson d’appât est accroché à l'hameçon au bout de la ligne.

Musiques, alcool, sucreries, sexe tantrique (ganacakra) seraient d'autres appâts pour mieux attirer les foules naïves aux tsoks, aux rituels, aux initiations et après exploiter celles et ceux qui auraient vraiment mordu à l'hameçon.



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