Les juifs, fondateurs de la Maçonnerie part 2



Chapitre II – Les juifs, fondateurs de la Maçonnerie

"Démasquer la Maçonnerie déclara Léon XIII, c’est la vaincre".

Si nous la dépouillons de ses voiles, tout esprit droit, tout cœur honnête se séparera d’elle avec horreur, et par ce seul fait, elle tombera anéantie et exécrée par ceux-là mêmes qui lui obéissent.

L’illustre et savant Jésuite Mgr Léon Meurin S. J., Archevêque Evêque de Port Louis, dans son remarquable ouvrage "Le Symbolisme de la Maçonnerie", démontre avec une documentation écrasante que les juifs sont les fondateurs, les organisateurs et les dirigeants de la Maçonnerie, qu’ils utilisent pour parvenir à la domination mondiale et pour détruire la Sainte Eglise Catholique et les autres religions existantes.


Parmi la très sérieuse documentation bibliographique qu’il présente à ce propos, figurent quelques citations que nous mentionnerons ci après :

"Le Premier Conseil Suprême, comme nous l’avons dit, fut constitué le 31 mai 1801 à Charleston, 33 degrés de latitude nord, sous la présidence de Jules Isaac Long, fait inspecteur général par le juif Moïse Cohen, qui avait reçu son grade à Spitzer de Hyes, de Francken et du juif Morin" 2).

"Les juifs étaient donc les fondateurs du Premier Grand Conseil qui devait devenir le Siège de la Maçonnerie internationale. Et ils le situèrent en Amérique, dans une ville choisie précisément sur le 33eme degré de latitude nord. Le chef suprême s’est établi depuis 1801 à Charleston. Ce chef était en 1889 Albert Pike*), dont nous avons déjà mentionné la "Lettre encyclique" datée du 14 juillet 1889, anniversaire et centenaire célèbre, Pike qui prit le titre de chacun des trente trois grades et y ajouta encore les suivants :"Très Puissant Souverain Commandeur, Grand maître du Suprême Conseil de Charleston, Premier Conseil Suprême du Globe, Grand Maître Conservateur du Palladium Sacré, Souverain Pontife de la Maçonnerie universelle". C’est avec ces titres pompeux qu’il publia sa Lettre Encyclique en la troisième année de son "pontificat", assisté de "dix" Illustrissimes, Très Illuminés et Très Sublimes Frères, Souverains Grands Inspecteurs Généraux, Mages Elus qui composent le Sérénissime Grand Collège des Maçons Emérites, Conseiller de la Phalange de Sélection et du Bataillon Sacré de l’Ordre". 3)

"L’Encyclique énumère les vingt-trois Conseils Suprêmes "engendrés" jusqu’à présent, soit directement par celui de Charleston, soit indirectement, et qui sont répartis de par le monde entier. Elle énumère ensuite les cent Grands Orients et Grandes Loges DE TOUS LES RITES en communication avec le Suprême Conseil de Charleston en tant que Souveraine Puissance Maçonnique: par exemple le Grand Orient de France, le Conseil Général du Rite Misraim, le Grand Conseil des Maçons Oddfellows, etc.
Ce qui précède fait conclure que la Maçonnerie est une, sur tout le globe, sous d’innombrables formes, mais sous la direction suprême du Souverain Pontife de Charleston." 4)

Origine juive

Les rites et les symboles de la Maçonnerie et des autres sociétés secrètes rappellent constamment la Cabbale et le Judaïsme, à savoir : la reconstruction du Temple de Salomon, l’étoile de David, les noms des différents grades comme par exemple celui de chevalier Kaddosh (kaddosh en hébreux signifie saint), de Prince de Jérusalem, de Prince du Liban, de chevalier du Serpent d’Airain, etc. Et la prière des maçons anglais adoptée lors d’une réunion qui eut lieu en 1663 ne rappelle-t-elle pas de manière évidente le Judaïsme ? 5)

"Enfin la Maçonnerie écossaise se servit de l’ère juive (pour ses datations): par exemple, un livre du maçon américain Pike écrit en 1881 est daté de "l’année du monde 5641".6)

Actuellement cette chronologie n’est plus conservée que dans les hauts grades, et les maçons se contentent ‘ajouter quatre mille ans à l’ère chrétienne et non pas trois mille sept cent soixante comme les juifs".7)

Le savant rabbin Benamozegh écrit ce qui suit : "Ceux qui voudraient entreprendre la tâche d’examiner attentivement les questions des rapports entre le Judaïsme et la Franc-Maçonnerie philosophique, la théosophie et les mystères en général perdraient… un peu de leur superbe dédain pour la Cabbale. Ils cesseraient de sourire avec condescendance à l’idée que la théologie cabbalistique puisse avoir un rôle à remplir dans l’évolution religieuse de l’avenir "8)

Qui sont les véritables dirigeants de la Maçonnerie ? C’est l’un des mystères de la secte, l’un de ses secrets les plus soigneusement gardés ; mais l’on peut s’assurer que le travail maçonnique dans le monde entier se déroule en accord avec un même et unique plan, que ses moyens sont toujours et en toutes parties identiques et que les fins poursuivies sont constamment les mêmes. Ceci nous conduit à penser qu’il existe un centre unique qui dirige tous les mouvements de la secte.

Nous aborderons plus loin cette question, mais rappelons-nous que la "lettre de Cologne", datée du 24 juin 1535 parlait d’un directeur de la Maçonnerie : le Grand Maître Patriarche, qui, bien que connu seulement de très peu de frères, existe réellement ; et Gougenot des Mousseaux indique que cette élite de l’Ordre, ces chefs effectifs que bien peu d’initiés connaissent opèrent sous la secrète et profitable dépendance de cabbalistes israélites, et que les véritables chefs de la Maçonnerie sont les amis, les auxiliaires, les vassaux du juif, qu’ils respectent comme étant leur souverain seigneur".9)

La même opinion est partagée par Eckert, Drumont, Deschamp, Mgr Jouin, Lambelin et d’autres bons connaisseurs des questions maçonniques et juives.

Laissons de coté les enseignements dogmatiques de la Maçonnerie et du Judaïsme pour examiner les alliances entre le Judaïsme et la Maçonnerie du point de vue purement pratique et factuel.
En toute logique, on ne peut qu’accepter la conclusion de Léon de Poncins dans Les Forces secrètes de la Révolution :

"L’universalité de de la Franc-Maçonnerie, sa durée, l’invariabilité de ses fins, qui s’expliquent parfaitement s’il s’agit d’une création juive destinée à servir les intérêts juifs, seraient absolument incompréhensibles si son origine était chrétienne. La finalité même de la Franc-Maçonnerie : la destruction de la civilisation chrétienne nous découvre le juif, parce que seul le juif peut en être le bénéficiaire, et qu’uniquement le juif est animé d’une haine suffisamment violente contre le Christianisme pour créer une semblable organisation."

"La Franc-Maçonnerie, poursuit L. de Poncins, est une société secrète. Celle-ci est dirigée par une minorité internationale. Elle a juré une haine implacable au Christianisme. Ces trois caractéristiques sont précisément les mêmes que celles qui définissent le Judaïsme, et elles constituent la démonstration que les juifs sont l’élément directeur des loges". 10)

La Revue Internationale des Sociétés Secrètes publiait en 1926 cette information : "En 1867 se constitua la Ligue Internationale permanente de La Paz, et son secrétaire le juif Passy ébaucha l’idée d’un tribunal pour trancher sans appel de tous les conflits entre les nations". 11)

La société des Nations, œuvre juive

Le périodique "Les Archives Israélites" envisageait un tribunal analogue en 1864 : "N’est-il pas naturel et même nécessaire y écrivait un certain Lévy Bing que nous voyions rapidement s’établir un autre tribunal, un tribunal suprême, auxquels se soumettent les grands conflits publics, les querelles de nation à nation, qui juge en ultime instance et dont le dernier mot fasse foi ? Cette parole sera celle de Dieu, prononcée par ses fils ainés (les hébreux) et devant laquelle s’inclinera avec respect l’universalité des hommes, nos frères, nos amis, nos disciples".12)

Tels sont les songes d’Israël.

Et comme toujours, ils coïncident avec ceux de la Maçonnerie : "Quand la République sera-t-elle établie dans toute la vieille Europe ?" écrivait l’Almanach des Franc-Maçons qui répondait aussitôt : "ce sera lorsqu’Israel règnera en autocrate sur cette vieille Europe". 13) *)

Lors du Congrès Universel de la Jeunesse Juive qui eut lieu le 4 août 1926, on entendit le maçon H. Justin-Godard proclamer que les juifs sont :"les plus fermes soutiens de la Société des Nations, qui leur doit son existence "14). 

Le juif Cassin fut encore plus précis :’"La renaissance du Sionisme est l’œuvre de la Société des Nations. C’est pour cela que les organisations juives se font les défenseurs de la Société des Nations, et pour cela aussi que les représentants du peuple élu pullulent à Genève". 15)
L’éminentissime Cardinal José M. Caro, Archevêque de Santiago et Primat du Chili, dans son ouvrage très documenté intitulé "Le Mystère de la Maçonnerie", démontre aussi que ce sont les juifs qui dirigent cette secte dans le but de dominer le monde et de détruire la Sainte Eglise.

Au sujet de son origine, il affirme : "Le Rituel Maçonnique révèle de toute évidence son origine juive : les symboles en commençant par la même Bible ; l’écusson, dans lequel il s’agit du déploiement héraldique des chérubins décrits dans la seconde vision d’Ezéchiel : un bœuf, un homme, un lion et un aigle ; les deux colonnes du temple maçonnique, rappel du temple de Salomon ; la reconstruction du Temple qu’est l’œuvre maçonnique elle-même, etc. Les légendes et catéchismes tirés en grande partie de la Bible, celle-ci rapportée presque toujours au savoir maçonnique, spécialement la légende d’Hiram qui joue un rôle si important dans le Rituel maçonnique ; les paroles et termes usuels comme les noms des colonnes Booz et Jaïn, les mots de passe et de reconnaissance, comme par exemple Tubalcaïn, Schiboleth, Giblim ou Moabon, Nekum ou Nekam, Abibalc, etc. L’importance donnée aux nombres, chose très particulière à la Cabbale, est aussi un autre témoignage de l’influence cabbaliste sur la Maçonnerie.

"Enfin il y a les faits, le règne de la terreur, l’explosion de haine satanique contre l’Eglise, contre Notre-Seigneur Jésus-Christ, les horribles blasphèmes que vomirent les révolutionnaires maçons en France : tous ces faits ne sont que l’expression et la réalisation des aspirations des sectes cabbalistes secrètes, qui durant de nombreux siècles conspirèrent secrètement contre le Christianisme. Ce que les bolchevistes, pour la plupart juifs, font actuellement en Russie contre le Christianisme, n’est qu’une réédition de ce que firent les maçons lors de la Révolution française. Les exécutants sont différents; la doctrine qui les fait agir et les autorise est identique, et la direction suprême est la même".16)

2) Pablo Rosen :"Satan y Compania ", p. 219.

*) NDT : Albert Pike,maçon 33° et Grand Commandeur du Rite Ecossais antique accepté, très célébre sataniste du XIXème siècle, créateur avec Mazzini du rite Palladien du satanisme. Voir l’ouvrage récent d’Epiphanius "Maçonnerie et Sectes secrètes, le côté caché de l’Histoire " publié en Italie par Edit. Ichtys, via Trilussa 45, 00041 Albano Laziale. Version française par Le Courrier de Rome, diffusée par DPF, BP1, 86-Chiré en Montreuil.

3) Adolphe Ricoux : "L’Existence de Loges de femmes" Paris, pp. 78 à 95.

4) Mgr Léon Meurin S.J. Archevêque de Port Louis : "Symbolisme de la Maçonnerie", édition espagnole Madrid,1957, pp. 201-202

5) Revue Internationale des Sociétés Secrètes,(Paris) N°2, 1913, p. 58.

6) A. Pike : "La Morale et le Dogme dans le Rite écossais",Anno Mundi 5641.

7) Maurice Fara : "La Massonneria en Descubierto", Edit. La Hoja de Roble, Buenos Ayres, p. 23.

8) Rabbin Benamozegh : "Israël et l’Humanité ",p. 71 de l’édition espagnole.

9) Gougenot des Mousseaux : "Le Juif, le Judaïsme et la Judaïsation des peuples chrétiens", pp.338 et 339 de l’édition espagnole.

10)Léon de Poncins : "Les Forces secrètes de la Révolution" pp. 139-141.

11) R.I.S.S. n°8, 1926, p. 269.

12) "Archives Israélites", 1864, p. 335.

13) "Almanach des Franc-Maçons ", Leipzig, 1884 (NDT. A noter que Leipzig était une ville à très forte population juive dont les deux tiers des propriétés immobiliaire était aux mains des juifs… jusqu’à l’ère des Nazis !)

*) Il est alors étrange que le Pape Benoit XV se soit félicité publiquement de la création de la S.D.N… Mais la Secrétaire d’Etat du Cardinal Gasparri était au service de la Maçonnerie et le Pape a probablement été trompé (NDT).

14) "Les Cahiers de l’Ordre ", numéros 3 et 4, 1926, pp 22 et 23.

15) Maurice Fara, opus cit. p.111, auteur à la diligence duquel nous devons les informations précédentes sur la Société des Nations.


16) Jose Maria Cardinal Caro R. Archevêque de Santiago,Primat du Chili : "El Misterio de la Massoneria", Edit. Difusion, p. 258.

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